A tous - vaccinés ou pas - salut,
Ils l’admettent enfin : les vaccins n’empêchent en rien la
transmission du sars-cov2.
Mais, ils oublient de nous dire que ces simulacres de vaccins créent
les conditions (circulation, variation, sélection) idéales pour
générer des mutants de + en + résistants, proliférants et agressifs.
Cela pourrait finir par une hécatombe incontrôlable et qui pourrait
bien être le but poursuivi. Certains, aussitôt taxés de complotisme,
le proclament. Franchement, je n’en sais rien. Mais c’est une
hypothèse qu’il faut toujours garder à l’esprit car un trop plein de
théories de ce genre fera toujours moins de dégâts que le règne
d’une pensée unique, politiquement correcte et débordante d’un
angélisme niais.
L’Autriche vient d’imposer un confinement strict des non-vaccinés.
Si cette mesure échoue à enrayer la progression des contaminations,
il sera alors démontré que les vaccins n’apportent aucun progrès. Et
cette démonstration sera tellement indiscutable que je fais déjà
confiance à nos Diafoirus pour creuser encore un peu plus dans leur
inépuisable mauvaise foi afin de nous expliquer qu’il faut encore
plus de ce qui ne marche pas. Ce sera démentiel, mais je sens qu’on
y va à fond, en ligne droite et en klaxonnant.
Au sujet de l’Autriche, je me demande en plus à quoi sert de
confiner chez-eux des gens qui, déjà dépourvus de passe
sanitaire/vaccinal, ne pouvaient plus faire grand chose, comme aller
au cinéma, resto, stade, bar, salle de sport etc...
Il me semble, et c’est mon avis personnel, que la seule attitude
qu’il convient d’adopter face à ce délire est l’abstention fondée
sur un scepticisme raisonnable. En ne nous vaccinant pas, nous avons
une chance de conserver intacte notre immunité naturelle qui est la
seule capable d’évoluer en s’adaptant aux futures menaces.
L’immunité synthétique fournie par les vaccins n’est bénéfique que
si elle atteint sa cible. Dans le cas contraire, en s’y substituant
elle inhibe notre système immunitaire naturel en s’exprimant
piteusement à sa place.
Face au sars-cov2, je me résumerai par la boutade suivante :
"un mauvais vaccin est plus dangereux que pas de vaccin du tout". La
sacro-sainte évaluation bénéfices/risques penche ici clairement en
faveur du camp des réfractaires à ces vaccins-là. Je précise que je
ne suis pas anti-vaccin. Je fais mes rappels des vaccins conseillés
dans mon pays de résidence, même si les risques sont faibles.
Bien entendu, je n’ai aucune certitude absolue. Je peux me tromper
et c’est d’ailleurs en cela que je me sens différent des guignols
qui nous terrorisent. Le vrai soucis c’est l’absence de débat, alors
qu’il s’agit de défendre nos libertés fondamentales. L’autre sujet
concerne l’acharnement mis à nous vacciner avec des produits
inefficaces : nous sommes quand-même en droit de nous demander si
ces vaccins ne sont pas conçus pour avoir une action n’ayant aucun
rapport avec le contrôle de l’épidémie.