Je suis assez d’accord avec lui sur un plan philisophique général, mais là où il se plante :’est que c’est pas la génération des boomers qui a ouvert les portes de l’immigration : c’est celle d’avant ! (vu qu’à ma connaissance c’est pas des trou-du-cul de 20 piges qui détenaient les clefs des usines...).