Du point de vue de l’oligarchie, la persécution des peuples n’est pas simplement un délire psychologique, mais aussi une nécessité, .
Tout le monde connaît la réponse de Dennis Meadows : non la croissance n’est pas indéfinie et les ressources sont limitées. Il avait calculé avec son équipe le sommet de la courbe entre 2030 et 2040 avant les effondrements industriel, économique, écologique et démographique.
Malgré la conférence de Copenhague pour en prendre acte, les politiques (chefs d’Etats) on failli à prendre en compte cette prospective, pour ne laisser que du greenwashing (développement durable, sommet de Rio, Cop 21, etc...). Et ce n’était pas simple non plus.
L’oligarchie de l’époque ayant elle-même posé la question à Denis Meadows, les Etats n’ayant su répondre, maintenant, elle s’en occupe, avec cet "agenda" qui répond à une nécessité. Mais à leur manière, évidemment, avec la démolition contrôlée de l’économie en cours pour prendre la main. Et pourquoi pas réduire la population, puisque cela va se faire de toute façon : là aussi, autant le faire de façon "thérapeutique", au lieu d’attendre les révoltes, les guerres et les barbaries.
Donc la tâche est double pour les peuples :
- détruire l’oligarchie, sinon, c’est elle qui s’occupe de détruire les peuples.
- se préparer à l’effondrement qui vient, avec des économies locales à construire pour réduire l’emprise sur les ressources épuisables.
Vaste programme, comme dirait l’autre.