Résolution 2022 : prendre de la hauteur, ne plus perdre de temps et d’énergie à s’embourber dans les vaines et basses querelles...demeurer stoïque face aux attaques incessantes, ce véritable harcèlement, oui disons-le, dont je suis la victime innocente...j’en souffre, oh oui j’en souffre...

Aux premières lueurs de l’an nouveau je me fais rebaptiser "la Normande" par une vieille baderne...je n’en ai pas dormi de la nuit...d’ailleurs à cet instant précis j’en sanglote encore...

Quelle abomination, que de souffrances horribles comme l’écoute d’un album de Vianney qui reprend du Bruel en imitant Christophe Maé...

Sans cette prise de hauteur, ces vêtements neufs de maturité et de sagesse, je me serais engouffré dans la brèche par une riposte virulente envoyée à l’agresseur à qui l’année nouvelle n’a pas apporté de remède pour soigner son maladif égocentrisme...j’aurais par exemple fait remarquer qu’il pleurniche à chaudes larmes sur la "censure" dont il se prétend victime pour la non publication de sa deuxième barquette successive issue de son nouveau filon "le kiki de Bribri" sans une pensée pour d’autres modules, des vrais, bloqués, et notamment ce modulicide de masse lorsqu’il a envahi tout l’espace avec ses palettes pleines de barquettes de la fournée "Face à Baba" qui a hanounisé Avox et transformé le site en annexe de la maison Bolloré...du Moïse sauce Hanouna partout, comme les posters de Justin Bieber dans la chambrette d’une pucelle énamourée et en transe humide devant l’image avenante de son idole écervelée...l’amour rend aveugle et hystérique...

J’aurais ajouté qu’il n’existe rien à l’extérieur de son Nombril Sacré si ce n’est le chemin vers la chambre froide, son pèlerinage quotidien à la quête de la barquette bénie qui lui arrachera un cri de victoire si elle dépasse les scores moyens de ses copiés-collés livrés à la douzaine et proches des standards chiffrés d’un Chambon dont bizarrement il ne fait jamais mention...

Oui, j’aurais pu formuler ces remarques, lui balancer ces petites fientes à la face, mais heureusement je prends de la hauteur, les ailes de la raison et de la sagesse me feront désormais survoler ces chamailleries stériles comme l’œil de la vache sur le train qui passe et la bave du chien qui cherche midi à quatorze heures sous le sabot d’un crapaud qui s’en va à la fontaine avec la cruche de la fermière...