@méditocrate
La charge de la preuve revient à celui qui accuse.
Si on lançait contre vous des accusations, j’attendrais pour leur accorder le moindre intérêt que celui qui vous accuse prouve ces allégations. En attendant et à défaut, je considérerais votre accusateur comme un calomniateur ; et je vous considérerais comme une innocente victime de calomnies.
Telle est ma façon d’être civilisé.
La vôtre semble consister à tendre complaisamment l’oreille à toutes les accusations pouvant salir quelqu’un et à le traiter comme un coupable tant qu’il n’a pas prouvé son innocence.