@TchakTchak
Ce sont seulement les propositions ukrainiennes à Istanboul, telles qu’exposées par la partie russe !
Peskov a déjà renvoyé un premier "niet !" concernant la Crimée, considérée comme part intégrante de la Russie et dont le statut est donc non-négociable.
"Ça me semble
une sortie honorable pour Poutine."
C’eut pu l’être, avant que Vladimir Poutine se résolve à franchir le Rubicon. Ce pas franchi, sa propre survie politique est en jeu, et il ne va plus reculer sans imposer la puissance russe et sévèrement humilier l’Occident et Washington dont l’Ukraine n’est jamais que le malheureux pion !
L’Ours s’est fort longtemps contenu, mais une fois suffisamment titillé pour qu’il sorte ses griffes, le calmer et le ramener aux vertus du dialogue va s’avérer être une autre paire de manches, d’autant que si c’est l’intérêt du vieux continent, rien n’indique que ce soit celui de Washington dont Zelensky n’est que le pantin.
Préparons-nous à serrer les ceintures, nos régimes alimentaires et nos trains de vie vont être soumis à très considérable diète !