Nos véritables dirigeants s’avèrent être, de plus en plus, des ploutocrates : richissimes, protégés, sans attache ni enracinement généralement, hors de danger. Il est plausible que ces individus, s’ils ont perdu leur âme, conséquence fréquente des égo et portefeuille surdimensionnés, ne puissent plus, par définition, avoir d’états d’âme quant aux morts, à la misère, à la barbarie, bref au terrible malheur que cause la guerre...à d’autres, bien sûr.