@MYTH©bubu et les 4 doses !
MYTH©bubu : il n’y a
pas de traitement, et si l’idée c’est de dire qu’on donne de l’HCQ faudrait
accorder ses violons car le grand maitre Raoult dit que ca se donne au tout
début.
SÉNAT, LE 15 SEPTEMBRE 2020
RAPPORT À LA COMMISSION D’ENQUÊTE POUR
L’ÉVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES FACE AUX GRANDES PANDÉMIES,
À LA LUMIÈRE DE LA CRISE SANITAIRE DU COVID-19
ET DE SA GESTION
Bien sûr ma vision est biaisée, nous avons traité un
nombre considérable de gens par l’hydroxychloroquine associée ou non avec
l’azithromycine. Les résultats thérapeutiques que nous avons sont difficiles,
voire impossibles à dépasser. Il n’est pas possible, à mon sens, de créer une
cohorte de cette taille-là, ayant des résultats meilleurs. Nous avons pu
appliquer ce traitement dans les EHPAD, et montré que, dans les EHPAD où nous
avions pu traiter les personnes, la mortalité était la moitié de celle des
personnes qui n’avaient pas pu recevoir ce traitement. L’interdiction
d’usage dans les EHPAD, et en revanche la libération de la prescription de
Rivotril pour euthanasie, représente une question qui sur le plan de l’éthique
devra probablement être instruite. L’efficacité de l’hydroxychloroquine et
de l’azithromycine paraissait aller de soi, les deux ayant une activité in
vitro sur le virus, qui, par ailleurs, est synergique. D’autre part,
l’azithromycine est le traitement de base des pneumopathies partout dans le
monde.
3 novembre 2022
– Où
en êtes-vous du traitement par hydroxychloroquine ?
On est très contents parce que là aussi, pendant que
tout le monde parle et donne son avis, nous on fait notre métier de
scientifiques. On écrit, on travaille, on soumet nos articles dans les journaux
et ils sont acceptés. Là on vient d’avoir un papier, je conseille à tout le
monde de le lire, qui est un papier d’évaluation de l’efficacité du
traitement par hydroxychloroquine et azithromycine dans les EHPAD. Dans ce
papier, qui est consultable sur notre site, on montre que quand on traite
les gens dans les EHPAD, la mortalité est divisée par deux. On passe d’une
mortalité moyenne de 27 %, qui est celle qui est observée partout en
France et observée à Marseille quand on ne traite pas, car il y a des EHPAD
dans lesquels on ne traitait pas, à une mortalité de 13 % quand on traite.
« On
est en phase de pharmacovigilance et ce n’est pas un essai clinique. La
sécurité et l’efficacité sont clairement démontrés. »
Auteur anonyme, le 26 avril
2021
Heil Μπουρλά !