Sans aller jusqu’à imaginer l’hypothèse extrême d’une pulsion récidiviste, on peut aisément deviner l’appréhension que pourrait susciter la simple présence de ce profil particulier pour les 576 autres députés si d’aventure il devait être élu...

Dans ces conditions peut-on raisonnablement et en toute conscience prendre le risque d’envoyer le candidat Gaiffe à l’assemblée nationale.. ?

Bien sûr qu’on peut, et à la limite c’est presque un devoir...il faudrait même multiplier de telles candidatures avec l’objectif de fonder un groupe parlementaire composé d’élus qui ne coupent pas les cheveux en quatre, qui ne tortillent pas du croupion pendant trois siècles avant de trancher, qui ne craignent pas l’opprobre générale pour un geste déplacé...

"La peur doit changer de camp" dit-on souvent, alors passons aux actes et mettons un terme aux sempiternelles parades des playmobils corrompus sortis des boyaux de la "république" qu’on voit plastronner devant les caméras, tout fiers de martyriser la populace...qu’ils rasent les murs, le slibard maculé des traces de leur apatride forfaiture, qu’ils sentent dans leur cou au moment de voter une loi scélérate le souffle fétide de la désapprobation signifiée par lame fatale, qu’ils ressentent la sensation oppressante d’être une proie comme un citoyen lambda, que ces vendeurs à la découpe de la France endossent enfin les habits déchiquetés de la Nation pour la comprendre...

Vauclusiennes, vauclusiens, votez Germain Gaiffe ! 

Psychopathes et assassins rassemblez-vous, zigouillez utile !