nombreuses et violentes critiques de la part de journalistes, et en conséquence, des menaces à son encontre.
Ce qui est surprenant : ça semble passer comme une " lettre à la poste (de jadis) " aux yeux des électeurs.
Comme s’ils étaient :
— anesthésiés par leur souci de consommation, de projets de vacances, etc...
— blasés et individualistes
pourtant ce sont les mêmes bisounours qui volent au secours du réfugié fut-il délinquant, organisent des marches blanches etc...
A n’y rien comprendre !