@Décoder l’éco
Ok. De toute
façon, on a besoin de votre démarche iconoclaste pour, au-delà des mensonges du
covid, débusquer les idées reçues qui ont faussé des schémas de pensées bien enfoncés.
Pour ma
part, je vois quand même des photos de virus d’Ebola, de la rage, de l’herpès, de la variole,
etc… présentées comme prises par microscope électronique. Sans compter les
virus géants de Raoult.
Maintenant,
on admet que ce ne sont pas des organismes vivants, mais des molécules
organiques, comme les acides aminées.
Wikipédia
écrit que les virus sont des contaminants nocifs, le mot crée par Ambroise Paré
venu lui-même de "venin" ou "poison", alors qu’on sait qu’il y a des virus amis et même
indispensables comme les bactériophages.
On sait de mieux en mieux la polémique Faucy/Montagnier sur le SIDA : à cause d’un virus pour Faucy, à cause du terrain affaibli pour Montagnier.
On peut
imaginer les virus comme des précipités d’activités métaboliques, donc présents
en raison d’une autre activité.
La seconde
guerre mondiale d’épidémie majeure reconnue, est-ce la nouvelle
pénicilline largement distribués qui a fait la différence ? Sans compter la généralisation entre deux
guerres des toilettes individuelles à chasse d’eau à la place des latrines
communes et des pots de chambres.
On sait
maintenant qu’il existe des toiles denses et épaisses de mycélium qui permettent
les échanges entre arbres et la bonne santé des forêts. Mais il est aussi le
premier destructeur des arbres, dès qu’ils faiblissent. On peut imaginer
pareille ambivalence avec ce qu’on appelle les virus.
Merci pour
cet échange.