@Eric_F
Vous faites des grandes phrases sur tous les sujets que vous ne maîtrisez pas.
Il suffit de dépasser le BAC pour commencer à comprendre la différence en représentation et réalité.
La définition originale de l’atome a été abandonnée depuis longtemps. C’était une représentation de l’invisible qui permettait pourtant d’expliquer des tas de choses.
La version apprise au lycée de "petites billes" composées elles-mêmes d’autres "petites billes" se déconstruit dans les années qui suivent. On parle alors d’énergies et d’interactions.
C’est un autre niveau de représentation qui permet de travailler sur d’autres choses. Cela ne rend pas "fausse" la représentation que l’on reçoit au lycée. Chaque représentation que l’on fait des éléments de a physique permet de travailler dans un certain champ d’application. Les gens qui n’y connaissent rien pensent qui nous détenons la connaissance parfaite des éléments physiques alors que nous n’en avons que des théories basées sur des expériences qui nous permettent juste d’observer certains aspects du réel.
Un des premiers cours BAC+2 en physique introduit la notion d’interaction forte : https://fr.wikipedia.org/wiki/Interaction_forte
En effet, une fois qu’on a appris la théorie de l’électromagnétisme (qui a plein d’applications pratiques vérifiables), on se retrouve surpris que les atomes censés être chargés positivement par des protons, n’éclatent pas en morceau du fait que ces protons se repoussent naturellement (comme des aimants).
La théorie de l’interaction forte vient proposer une explication.
Ce n’est pas une vérité basée sur une observation facilement reproductible, mais une théorie venue combler un manque.
Ca fonctionne bien pour faire tenir l’ensemble de la théorie des énergies et continuer de travailler.
Il faut a minima être conscient des limites de ce que vous appelez "existe" et "n’existe pas". Encore une fois, vous êtes venu faire un sermon en prenant votre verni de "culture" comme une bible.
Doutez donc un peu pour essayer.