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Duke77 Duke77 5 septembre 2022 14:32

@Décoder l’éco
On ne peut pas ignorer les gens qui ont fini en réanimation suite à des symptômes de la COVID19. Tout le monde à connu quelqu’un qui au moment de la première vague, a commencé à développer des symptômes spécifiques à un SARS et fini en réanimation avec au final des cicatrices sur les poumons toujours visibles 2 ans après, et sur ma même période, connu des gens ayant contracté une drôle de grippe avec perte de goût et d’odorat persistant plusieurs mois voire années après la guérison. Il n’y a donc aucune nécessité à avoir des statistiques pour confirmer qu’une maladie pouvant être grave chez des personnes de plus de 50 ans s’est bien répandue en mars/avril 2020 et que ces gens ont tous été testé positifs aux tests antigéniques ou PCR. Des centres comme l’IHU de Raoult ont même rapidement étudié le génome du virus et réalisé des arbres phylogénétiques.

Par ailleurs, le Japon où l’Ivermectine a bien été utilisé et conseillé publiquement par certains chercheurs bien que les "fact-checkers" tentent d’affirmer le contraire en se tenant aux préconisations du gouvernement et en oubliant la liberté prônée par certains responsables politiques influents comme Shinzo ABE assassiné cet été, liberté qui a permis aux japonais d’avoir accès à cette molécule et où le taux de mortalité est resté très faible comparativement aux pays qui ne traitent pas comme la France. Le Japon n’est pas réputé pour son eau dégueulasse et sa bouffe contaminée par les germes. On notera que la Japon est touché très récemment par le COVID, comme la plupart des pays qui vaccinent beaucoup depuis un an et qui ont répété ces injections inefficaces

et toxiques, et fruit du hasard complotiste, vague de cas juste après l’assassinat de ce "libertaire".

Enfin, l’action de l’Ivermectine ne se situe pas au niveau de la charge virale mais du contrôle de la réponse immunitaire.
https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/ivermectine-attenue-symptomes-covid-19-modele-animal
Cette molécule a donc pour effet d’éviter l’orage cytokinique : https://www.pourlascience.fr/sr/covid-19/orage-de-cytokines-quand-le-systeme-immunitaire-s-emballe-4033.php

L’ivermectine n’a donc pas besoin d’un lien entre un virus et la maladie dite "COVID19" mais simplement de prouver son effet immunomodulateur pour avoir un effet positif potentiel sur les complications et la mortalité liée à cette maladie.

A contrario, l’hydroxychloroquine de Raoult agit sur la réplication du virus et limite la charge virale en agissant sur l’entrée dans la cellule conjointement au zinc, modifiant le Ph cellulaire et freinant la duplication du virus SARS-COV2.

https://www.youtube.com/watch?v=NIAosseY4fg&t=1754s




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