Il ne faut pas vouloir les expulser. Parce que, quand ils sont là, il est déjà trop tard. Il faut les empêcher de venir. Le leur interdire. Et ça commence par l’annoncer solennellement au niveau diplomatique. A qui de droit. Puis adoption de lois qui rendront douloureuse, voire très douloureuse, ladite présence désormais non-tolérée. Très douloureuse. Que ça fasse mal au connard qui a décidé de venir sans y être invité. Que ça fasse mal, bordel. Tu l’as cherché ? Tu l’as gagné...

"Salaud, fumier, ordure, fasciste ! C’est contre les droits de l’homme !" disent nos grands amis, les représentants exclusifs du Bien sur terre. La secte. La nouvelle religion. Qui se porte pas très bien en ce moment, il faut le dire... Tant mieux.

A tous ces merdeux hyper-narcissiques, je ne répondrai que cela : nous avons le droit de nous protéger contre les délinquants, les criminels, les fous dangereux, les terroristes. Qui pourrissent littéralement notre pays. Mieux : c’est un devoir. La gamine, là, c’est juste la dernière en date d’une liste infinie de victimes. Des victimes de votre idéologie de tarés naïfs. De votre aveuglement volontaire. De votre religion sectaire : la religion du Bien par le mélange obligatoire. "Il faut se métisser, c’est pas négociable" avait dit un membre de nos élites.

Non, connard. Il faut se protéger. C’est ça qu’est pas négociable. Et que tous les adeptes de la secte du mélange obligatoire non négociable partent en Afrique. La porte est là. Sans ce sens-là, elle est ouverte.