"Macron marionnette de Rothschild ? Le dérapage conspirationniste de Gaël Giraud (CNRS)"

"Le candidat de l’establishment Rothschild, Macron, qui a été un temps le cheval noir de la course pré-électorale, est apparu en première ligne d’un nouveau scandale financier. Le "Mozart" de la sphère financière, comme on l’appelle souvent dans la presse française, pourrait être impliqué dans le "lobbyisme" illégal des intérêts d’un monopole mondialiste. Alors qu’il travaillait à la banque Rothschild, Macron a rencontré des représentants des plus grandes entreprises multinationales. Par exemple, avec Peter Brabeck-Letmathe, l’ancien PDG de Nestlé. L’accord de 9 milliards d’euros est devenu le début du jeune banquier d’investissement. L’accord était louche, mais pour le moment, Macron a trouvé comment s’en tirer.

Parallèlement, il rencontre et entame une collaboration avec le patron du Monde. Il se lie d’amitié avec Pierre Berger, qui est le premier actionnaire du groupe d’édition Le Monde et qui est également connu comme homosexuel (il est le mari du couturier Yves Saint Laurent). Cette amitié serait la clé de la campagne présidentielle de Macron : la plus grande publication libérale Le Monde présente une image positive de Macron et mène une cruelle bataille d’information contre les rivaux de Macron dans la course présidentielle : Le Pen et Fillon. L’union des gros sous, du lobby homosexuel et des médias puissants qui produisent un flot de fake news est devenue la voie commune de la stratégie des élites mondialistes. Et Macron respecte ces règles.

En août 2014, Macron a quitté son travail à la banque Rothschild et a pris un poste au ministère de l’Économie et des Finances de la France. Macron a vendu l’aéroport de Toulouse-Blagnac à la Chine, déclarant simultanément que cela ne conduirait pas à la privatisation. Mais, en l’espace d’un an seulement, la privatisation s’est produite. Pas de rancune, c’est juste du business.

A peu près à la même époque, le technocrate Macron promeut le rachat de SFR par le groupe Altice de Patrick Drahi. La fusion des sociétés a été initiée par le banquier Bernard Murad de Morgan Stanley Bank. Soit dit en passant, Murad est aujourd’hui une figure clé du QG électoral de Macron. Cette incorporation a entraîné le licenciement de plusieurs milliers d’employés. Mais, comme on dit dans la société capitaliste : l’optimisation des ressources passe avant tout !

En 2016, en tant que ministre des Finances, Macron rencontre les patrons de start-up françaises à Las-Vegas. La visite était organisée par le groupe Havas, représenté par Yannick Bolloré. Une fois de plus, les amis de Macron ont obtenu des préférences sans appel d’offres. Hasard ? Je crois que non.

Macron a également emmené Jean-Jacques Murad (le frère du banquier Murad) dans son QG pré-électoral. Il défend les intérêts du laboratoire pharmaceutique Servier. Auparavant, alors qu’il travaillait au ministère des Finances, Jean-Jacques Murad a mené à bien des transactions en faveur de ce laboratoire à hauteur de plus de 80 000 euros. Chose intéressante, le programme électoral actuel de Macro contient un point spécial sur la nécessité d’augmenter le budget des médicaments qui abaissent l’hypertension artérielle. Maintenant, devinez qui a le monopole dans cette sphère des produits pharmaceutiques ? Oui, la société Servier de Murad !

Un autre fait intéressant concernant la campagne de Macron est sa valeur estimée à 17,5 millions d’euros. Sans être un parti, le mouvement ne reçoit aucune subvention du gouvernement. Alors, d’où vient l’argent ? 6,5 millions, selon les rapports, sont donnés, mais où Macron a-t-il emmené les 8 autres millions ? Macron n’arrête pas de dire qu’il est un candidat indépendant, que personne ne finance son mouvement. Mais tout indique que le jeune banquier n’est pas oublié par son ancien mécène Rothschild. Les rencontres régulières de Macron avec les banquiers montrent que l’argent des élites libérales mondiales est concentré derrière ce jeune mondialiste."
https://katehon.com/en/article/macron-another-political-puppet-rothschilds