Comme j’ai pu l’entendre dans l’entrevue, les indépendants ou intermittents travaillant dans les métiers de l’Art et du divertissement non subventionné sont les premiers touchés par la crise. Si actuellement la plupart ont encore des notions de précarité pour l’avoir souvent côtoyée dans leur démarche et leur parcours professionnel, les prochains, sans expérience, risquent de ne pas passer le prochain hiver.