@Gaspard Delanuit

N’as-tu jamais eu l’heur de connaître les joies de la détention en maison d’arrêt correctionnelle, petit puceau en mal de conquêtes amoureuses et qui ne jure que par les cinq doigts de la main en en tirant quelque éphémère compensation à composante psychologique d’ordre fantasmatique.

Les erreurs judiciaires cachent en vérité une faute lourde due à la personnalité des juges qui instruisent de manière biaisée (si instruction préparatoire en amont) ou jugent avec une intention hostile et motivée par une volonté de nuire, voire, et cela arrive assez couramment, en vue de couvrir les fautes de ses homologues.

En ce qui me concerne, j’étais jeune et je suis malheureusement tombé sur un magistrat instructeur misanthrope et connue pour ses tendances sadiques à l’endroit des hommes qui lui étaient présentés en première comparution.

Je suis un ancien de l’École Centrale de Paris et j’ai exercé, après avoir obtenu le CAPA, le métier d’avocat durant quelques années après lesquelles je me suis présenté au concours pour intégrer le corps des juges administratifs ( concours de recrutements de conseillers aux TA et CAA)

J’étais naturellement doux et innocent comme l’agneau, votre déshonneur.
Si tu savais, tu n’y croirais pas tellement c’était énorme.

J’ai toujours en tête le numéro du dossier en instruction au TGI de Nanterre :120/89. En revanche, j’ai complètement oublié mon numéro d’écrou, vieille pendule.

N.B. : La juge en question avait pour patronyme Delafollie et répondait au prénom d’Elisabeth ( une femme épaisse et grasse qui a achevé sa carrière à la cour d’appel Versailles connue pour être réactionnaire, faible avec les puissants et fort avec les puceaux de ton espèce).