@shiteux
« Là ou tu as raison concerne celles d’eau du que je ne
souhaitai a personne de lire tellement elles puent et surtout mente »
Oh que c’est prévenant et si joliment écrit... Je censure comme
un porc, certes, mais c’est pour votre bien. Oui, c’est moi qui
décide ce qui est bon pour vous ou non. Eau_du, mat ac, pas bien,
Shiteux et son noble combat contre les « nazillons » et les complotistes,
Sacha, Rudy, bien. Vous avez compris les « fa » ?
Bah didon... près de 700 articles censurés en 1 an et demi. Mais
c’est qu’il a pas fait semblant le shiteux... Il nous dit, tel un
camé repenti qui a malgré tout conservé une seringue (on ne sait
jamais...), qu’il a arrêté, juré-craché sur le Manifeste hein, sauf que notre bon shiteux a encore
frappé ce mois-ci à base de 80% d’articles censurés. Si un
apothicaire du net a un subutex à proposer à notre addict du clic
négatif, qu’il se déclare sur le champ ou se taise à jamais.
Tiens d’ailleurs, arrêtons-nous un instant sur cette
syllabe, cette quatrième note de la gamme(ée ?) et
l’énorme bémol qui lui est accollé. J’ai longtemps cru (c’était il y a
longtemps...) que celle-ci désignait les fachos
jusqu’à ce que je m’aperçoive qu’elle concernait tout autant les
« faf », ces horribles gens qui, comme moi, estiment que
le France est aux Français tout comme c’est le cas pour n’importe
quel pays dans le monde (à qui d’autre sinon ?) et qui ont le malheur
de se situer à la droite de Nathalie Artaud. Erreur. Pour ces
handicapés du libre-arbitre, un fa désigne tous
ceux qui ont le malheur de ne pas être strictement comme eux (cons et serviles), ou
plutôt comme ils s’estiment être.
Il est patent que les auto-proclamés antifas sont les véritables
« fachos », des censeurs qui s’estiment légitimes de décréter arbitrairement qui a le droit de s’exprimer et ce qui peut ou ne
peut être dit. En outre, l’antifa est clairement protégé par tout
le système et il le sait, ce qui fait de lui une pute, si vous me
pardonnez ce petit écart, une péripatéticienne de celui-ci. Quand
Esteban Morillo, un prolo, prend 11 ans de prison pour un coup de
poing dans une bagarre qui a été provoquée par des antifas (et parce qu’ils se
savent intouchables) et sur un des leurs, un fils de bourges, c’est
bien une décision politique : justice exemplaire de sévérité
doit être rendue pour châtier le méchant fa qui a osé se défendre
contre l’innocent et noble antifa qui, finalement, ne faisait que son
travail. Peu importe les faits ! 3 médecins sur 5 ont beau dire qu’il
n’y a pas eu usage d’arme, un autre dire ne pas être sûr et seulement un qui dit que
oui, c’est l’avis du dernier qui sera retenu. Le bénéfice du
doute habituellement accordé au quidam, surtout s’il est
multi-récidiviste issu de la diversité, s’envole dès que le
présumé coupable ne pense pas bien et que la victime est de la famille. Quand GI, un groupe qui ne
fait rien de plus que de l’agitprop, est combattu des années durant
au plus haut niveau de l’état et finit dissous alors même que les
groupes antifas ultra-violents sont laissés libres de nuire, encore
et encore, c’est bien qu’il y a complicité du système avec ces
antifas. Et l’on pourrait multiplier les exemples.On pourrait ressortir les témoignages accablants comme celui de Julien Terzic, figure bien connue de ce milieu de petits enculés. Ce dernier a confessé avoir été rincé par Julien Dray himself à la grande époque.
La raison est simple : cette sale race de traître
payée pour détruire les mouvements sociaux et traquer ceux qui
s’opposent pacifiquement à l’invasion de leur pays ou simplement
ont le malheur de poser quelques bonnes questions (comme le cas de Vincent Lapierre agressé à de
multiples reprises et en toute impunité par ces lâches nervis), sont les enfants de cette bourgeoisie aux
manettes.
J’ignore si Churchill a bien prononcé cette fameuse phrase mais
peu importe. Elle est juste sur le fond : les fachos
d’aujourd’hui se nomment bien antifas. Ils pratiquent juste la
sempiternelle et orwellienne inversion sémantique mais, dans les
faits, dans le concret de l’action, ce sont bien des censeurs, des
commissaires politiques chargés de décréter la vérité, que ce
soit à coup de clics ou de poings (et en meute et avec le plein soutien du système).
Je
te pisse à la raie le shiteux.