Je suis étonné de ne pas entendre mentionné le marché du carbone qui s’est vu appuyé par les analyses du giec, opportunément créé quelques temps avant sa mise en place.
Ce marché permet aux pays riches une spéculation juteuse d’une part, ainsi qu’un mécanisme de plus de retour de devises sur les pays en développement (atelier de la planète).
Le contexte n’étant plus a désindustrialiser chez ces méchants chinois, je ne serai pas surpris de voir cette histoire de CO2 gentiment disparaitre dans les années à venir si d’autres ne prennent pas le relais...(?)