Dommage que l’image s’arrête juste avant qu’on ne puisse assister à l’apogée de la séquence avec le dalaï-lama qui crache...
Bon, c’est presque aussi sordide que l’histoire de l’égophile (voir ci-dessus) frustré et atteint de "jalousie morbide" parce que lui ne trouve aucun serviteur béat d’admiration pour réaliser son fantasme et lui laper Saint Nombril...