Tu dois être bien déglingué du ciboulot et grisonnant pour oser t’aventurer dans le monde de l’âpreté des charmes virils. Je t’endors avec une simple pichenette alors évite de négocier avec l’auguste qui s’incarne dans ma personne intemporelle.
Je t’ai administré par le passé de nombreuses fessées et tu viens encore en redemander. Tu es aussi pitoyable que l’estaminet que tu fréquentais en y allant naguère le cul nu et la bouche en biais.