Soit dit en passant, il n’y avait aucun "leadership" (domination, autorité, progrès) de l’Afrique aux temps préhistoriques sur les autres continents (compléments qu’elle ne formule même pas) ; "J’ai vu aussi avec quelle délectation certains ont contesté l’idée d’un "leadership" africain, comme si c’était quelque chose d’aberrant". Non seulement c’est une idée (une lubie même) mais elle ne lui donne aucun aspect empirique ou comparatif. En gros : pas de dates, pas de lieux, pas de comparaisons et finalement, pas de démonstration, pas d’explication. On reste dans le pur performatif comme le dit Onfray, la pensée magique. "C’est parce que c’est, parce qu’on le dit".