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Conférençovore Conférençovore 5 mai 2023 05:19

Guerre culturelle. Mode d’emploi en 3 étapes.

A/ Souiller la culture chrétienne (pourquoi seulement elle, la réponse est dans la méthode). Comment ? Très simple (ça marche à tous les coups).

a) Déjà avoir les rênes (des collègues gauchiasses bien installés et aidés par des mondialopes qui sont rarement chrétiens) pour pouvoir exposer ce genre de merdes.

b) Trouver des artistes ratés en mal de reconnaissance. Quand on est nul, il y a deux solutions : bosser pour s’améliorer (mais c’est chiant) ou, et le domaine artistique s’y prête très bien, faire de la provoc mais sans couille. Un artiste LGBT-machin cohérent et couillu voulant sincèrement défendre sa cause s’en prendrait à la seule religion profondément intolérante sur cet aspect (et tous les autres) mais bon... ça, ça n’intéresse pas trop les mécènes mondialopes et puis c’est risqué, physiquement. Et puis les LGBT sans-couille sont aussi bien souvent des ethnos-cucks anti-christiens anti-blancs donc la messe est dite et le sujet de l’expo tout trouvé.

B/ Patienter. La réponse de la dite ED ne va pas se faire attendre longtemps : indignation (cohérente et justifiée, mais osef) et... le Graal, l’appel à la censure. Ah oui, précision : la bataille gramscienne est déjà remportée dès le A/, les réacs étant coincés par deux attitudes toutes les deux perdantes. Celle espérée par les gauchiasses est l’indignation mais l’indifférence fonctionne aussi. Même si un bon tollé est préférable (d’ou la nécessité de mettre le paquet : un Jésus sodomisé par un enturbané par exemple, quoique... certains pourraient mal le prendre... on va se contenter d’un Jésus gay-cuir). Dans tous les cas le message est passé.

C/ Se victimiser. Par simple effet Streisand provoqué par l’indignation elle-même provoquée, l’exposition qui était confidentielle va devenir un sujet, donc un succès. L’indignation génère toujours du flux. Sa nature importe peu. Le principal effet recherché par une provoc est qu’elle suscite des réactions. On en parle et donc, forcément (c’est la cas de le dire), l’expo de merde qui était jusqu’alors confidentielle devient sujet d’échange. Cerise sur le McCrado, la méchante droite est diabolisée. Bilan : Les sans-couille ethnocucks et autres mondialopes errantes ont gagné, once again. On ne change pas une méthode qui marche.

Contre-méthode pour les gens normaux :

Bien voter. Ne plus faire de pub à ces daubes (donc résister aussi à ses pulsions de buzz : en clair, FVG les Nicolas Bay et consorts !). Reprendre le pouvoir et supprimer toutes les subventions à la culture dégénérée anti-chrétienne et raciste ant-blanche. Le reste se fera tout seul et ce genre de bouses bloquées au stade anal d’artistes ratés sans couille ni talent finiront logiquement dans de confidentielles et arrière-gardistes galeries de merde ou encore sur les murs de couloirs menant à de sordides back-rooms.




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