Il me semblait que plutôt que l’Ombre, Jung l’appelait l’anima (animus chez la femme).
Quoi qu’il en soit, plutôt que d’exposer la psychologie analytique jungienne, il serait plus intéressant amha, de souligner ce qu’elle apporte(rait) de plus que la seconde topique freudienne du moi, surmoi et ça.