Comment guérir du gauchisme ?
Pour répondre à cette question, il n'est pas utile de faire de longues phrases tant la feuille de soins est facile à écrire : La rencontre avec le réel. C'est cela et rien de plus qui, bien souvent, force les moins infectés à ouvrir les yeux. "Souvent" signifie hélas "pas toujours" mais signifie aussi hélas que c'est un passage hélas obligé (oui... ça fait beaucoup de "souvent" et de "hélas" mais comme dirait Stanislas, "il n'y a pas d'hélice hélas, c'est là qu'est l'os"). Oui... hélas, la France est devenue un grand planeur qui se meut au gré des courants d'air ; et le gauchisme en est un puissant en cela qu'il a tendance à vous maintenir artificiellement en l'air pour vous orienter dans la mauvaise direction.
Ainsi, dans cette grande vadrouille qu'est devenue notre collective histoire ces dernières décennies et qui doit faire se retourner dans leur tombe tous nos héros du passé, voici celle d'Eliott, 26 ans, ancien gauchiste.
Cette présentation fait un peu "alcoolique anonyme" dans un groupe de parole : "Bonjour, je suis Eliott, 26 ans, je suis gauchiste". "Bonjour Eliott !"... mais... c'est un peu ça quand même même si "gauchiste" est sans doute un peu fort parce que si c'était vraiment le cas, s'il était vraiment imbibé par cette idéologie mortifère, alors il serait probablement sur Konbini ou Brut en train d'excuser ses agresseurs et s'auto-flageller d'avoir fait du french-spreading, du white-spreading dans ce train. Ah oui... ne m'en voulez pas, j'anticipe les futurs concepts fumeux des 1soumis... comprendre les "soumis en pôle position"... comprendre les gauchistes, comprendre les gens à plat ventre. Disons que nous avons là au moins un ancien jeune homme ayant évolué dans une réalité parallèle, celle précisément d'une France à la Bourvil-De Funès-Bébel où, le maximum de la violence se résume à se balancer deux trois bourre-pifs le soir du bal populaire de village et dont les horizons politiques se cantonnent à une lutte des classes à la papa.
Sauf que ça... tout cela, c'était avant... et Eliott a fini par faire cette brutale rencontre avec la réalité, une réalité aux antipodes de ses idéaux et de l'idéologie qui lui a été inculquée.
Alors cette histoire se termine pas trop mal physiquement et même très bien mentalement (il est guéri), certes avec quelques bleus à la caboche mais des idées finalement remises en bon ordre. Pour autant, ne nous réjouissons pas trop car de trop nombreuses autres se terminent avec des handicaps à vie (comme Marin et tant d'autres) ou finissent dans l'oubli d'une fatalité tristement admise par la majorité : on te tue, mais... c'est la vie quoi ! Pas d'amalgames hein... parce que tes assassins sont aussi... correction... sont les premières victimes (si si !) de leur violence ! Voilà les sinistres mantras répétés par les tenants des cordons de la bourse. En 2022, ce n'est plus "la bourse ou la vie ?", c'est les deux. Et les vies en jeu sont les nôtres.
Bref, bien que tristement banale, voici une histoire intéressante racontée par l'intéressé lui-même via VA Plus (abonnez-vous), celle d'un repenti et guéri d'une pathologie mentale, d'une personne guérie de cette maladie. Quant au virilisme et son utilité, ces débats sont dépassés. Il n'y a pas d'hélices et ce n'est pas un os. A chacun d'en fabriquer une s'il ne veut pas s'écraser.
Tags : Témoignage Violence
33 réactions à cet article
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Il y a aussi comment guérir du droitisme ? Ou comment guérir du libéralisme ?
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@mat-hac
Guérir du gauchisme fait prendre conscience que le droitisme n’existe pas,
c’est juste le retour aux choses concrètes de la vie observées sans le prisme déformant et moralisateur d’une idéologie aliénante et infantilisante
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@mat-hac
Oui. Il y a aussi comment guérir du ségolisme ? Je te laisse le soin d’écrire tous ces articles respectifs. Au moins ça en fera un qui sort du lot sur les 35 copier-coller de ta part en modo... -
@Conférençovore
Je ne suis plus le réseau Ségolène. -
@mat-hac
Tu pourrais nous écrire un article qui relate ce qui t’a plus dans ce "réseau" (j’ignorais qu’il y en avait un), pourquoi tu l’as rejoint, quelles idées t’ont séduit chez elle (ça, ça m’intrigue) et pourquoi ce n’est plus le cas. -
@Conférençovore
"Tu pourrais nous écrire un article qui relate ce qui t’a plus dans ce "réseau" (j’ignorais qu’il y en avait un), pourquoi tu l’as rejoint, quelles idées t’ont séduit chez elle (ça, ça m’intrigue) et pourquoi ce n’est plus le cas."
Hum...est-ce bien raisonnable ? tu penses que le joufflu dispose du...hum...de la...hum...des euh "capacités" pour livrer les tenants et les aboutissants de cette folle épopée dans l’univers indicible de la ségosphère.. ?
Allez, je me dévoue pour jouer à l’écrivain public :
"J’aime bien madame Ségolène parce qu’elle est jolie...je l’ai vue un jour à la télé pendant que je préparais mes barquettes du jour et j’ai senti un truc tout bizarre dans mon slip, comme si le zizi devenait dur alors qu’il a toujours été tout mou...après je me suis inscrit aux "jeunesses ségolénistes" j’ai reçu ma carte de membre et j’étais content...oh oui j’étais content, j’ai reçu en cadeau un kit avec une cible et la photo de la ségosphère, elle est toute ronde avec un gros point noir au milieu...j’ai pas compris la règle du jeu mais j’étais tellement content que j’ai appris à me servir tout seul du jeu en secouant mon zizi...une fois j’étais tellement content que j’ai atteint le point noir de la ségosphère, j’ai gagné 100 points.. ! et un jour j’ai gagné un concours avec le droit de rencontrer madame Ségolène...ah j’étais content...quand je l’ai vue je me suis bien appliqué pour atteindre la cible, et là elle m’a donné une grosse paire de claques.. ! elle est tellement méchante qu’elle a failli appeler la police.. ! alors que c’est elle qui m’a tapé...voilà pourquoi j’ai rendu ma carte, parce que madame Ségolène et ben elle est méchante...l’autre jour à la télé pendant que je préparais mes barquettes du jour j’ai vu madame Pécresse à la télé, et j’ai senti un truc bizarre..................." -
@Norman Bates
"Hum...est-ce bien raisonnable ?"
Je tente un truc là, pas très raisonnable, j’en conviens... -
@albert123
c’est surtout ta position de confort qui n’est plus questionnée.
le droitisme est la mère des gauchistes. -
@mat
1/le libéralisme est né a gauche
2/le droitisme n’existe pas,on entre pas a droite comme en religion ,convaincu qu’on est le bien ,on s’appuie seulement sur la réalité,ce qui fonctionne -
Beaucoup de bon sens et d’une sensibilité de bon aloi dans cet article.
Mais la réalité, réelle, vraie et incontournable ... c’est que le peuple Français est s’est laissé convaincre de virer un Charles de Gaulle et le gaullisme pour mieux élire les faux-nez du mondialisme que nous avons maintenant sur le râble ...
Or, un demi-siècle plus tard, (et quel demi-siècle !), le peuple Français, il n’a encore rien compris au film...
Alors,... Le gauchisme, (entre autres -ismes de tous poils pour citoyens de "derrière les fortifications", comme l’on disait aux temps de la France vivante et des Français debout), je crains que ce ne soit ce pas demain que la France puisse s’en affranchir !!!
D’ailleurs, le gauchisme est lui-même noyauté, sinon carrément phagocyté, par les mondialistes qui bouffent du "peuple de gauche" matin, midi et soir, non plus seulement par intérêt, mais désormais, également par plaisir !!!
Mais, vous avez quand-même raison d’essayer, particulièrement en cette période d’élections.
Et bonne journée à vous.
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@Parrhesia
Merci.
Oui, je le sais bien... et le déplore. Il sera difficile de sortir de cette impasse car hélas, le gauchisme sait y faire et la recette est la même depuis des décennies : formater les esprits dès la prime enfance. On a même laissé des travelos venir lire des contes non-genrées dans des maternelles de Paris... c’est dire le niveau que cela a atteint.
Pour autant, il y a malgré tout quelques espoirs car même si le net est nettoyé et tout contenu jugé de droite est invisibilisé, certains arrivent à passer au travers et influencer positivement. Et puis le réel est implacable. Alors même si un certain nombre de gens sont trop infectés et ne pourront jamais se réveiller, une partie reste sauvable. C’est pour ceux-là qu’il ne faut pas abandonner, même si le temps joue contre nous. Bonne soirée. -
Je persiste à penser que c’est une erreur de cibler le "gauchisme" comme ennemi, et au-delà de conserver en grille de lecture le clivage droite-gauche...
L’ennemi est protéiforme, il avance masqué et peut par stratégie tantôt jouer sur les idéologies propres à la "gauche" et tantôt sur celles de "droite"...
Seul le souverainisme pur et dur s’oppose radicalement au mondialisme et à la destruction programmée et méthodique des nations...s’inscrire dans une démarche souverainiste c’est retrouver la liberté et l’indépendance, c’est refuser la soumission aux institutions et aux intérêts privés supranationaux...
C’est la seule issue (de secours) pour cesser de subir l’emprise de cette mafia qui dicte ses lois de l’EN jusqu’aux EHPAD en passant par les médias et le cloaque politicard et son opposition strictement contrôlée...le politicard qui n’affiche pas sa volonté de traiter le problème à la racine n’a aucune crédibilité...
Enfin, je signale à l’auteur du module (joli boulot) que dans le "nouveau monde" le terme "guérir" a été remplacé par "vacciner"...
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@Norman Bates
Oui ! Oui ! Oui ! et oui !!!
Bonne soirée à vous !!! -
@Norman Bates
Avant l’élection j’ai proposé à la tribu du suricate l’idée de passer de l’identitaire, utile pour fédérer mais stérile politiquement, au souverainisme pour traiter la cause plutôt que le symptôme…
Mais ils aiment leurs images d’Épinal, les histoires de Roncevaux et préfèrent le cosmétique au sérieux.
Alors les suricates, petites créatures peureuses, se regroupent et se racontent des faits divers car ils aiment trembler en groupe… Mais les chaînes d’infos ne diffusent plus que de l’Ukraine en format pré mâché :( alors le petit herpestidae pris de delirium tremens creuse frénétiquement le sol pour trouver sa part d’effroi à partager, pendant que le groupe se lisse le poil, tout chahuté par l’élection passée… :)
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@Norman Bates
Certes, l’ennemi peut avoir de multiples apparences mais le clivage demeure en partie. Au-delà de la politique, ce clivage se situe au niveau des valeurs.
Le gauchisme enseigne que tout se vaut, qu’il faut être tolérant (ce qui est très bien en soi, à condition que cette tolérance ne se transforme pas en soumission... parce que là, on se fait en...), que les normes sont des barrières à abattre, que tous les peuples du monde ont le droit d’exister et de préserver leurs culture et homogénéité sauf les nôtres, qu’il faut avant tout considérer les agresseurs comme des victimes de la société, du méchant capitalisme, de la buorgeoisie, etc, enfin de tout ce qui pourrait les excuser par défaut.
C’est exactement ce dont témoigne ce jeune homme. Et j’ai entendu cela également des dizaines de fois : "oui mais tu comprends... si la société n’était pas aussi dure avec eux, ça n’arriverait pas..." (Sandrine aurait pu dire cela... d’ailleurs elle a du le dire mais comme je ne l’écoutais pas...).
Le gauchisme supprime les défenses humanitaires des jeunes Européens (et eux uniquement... les autres ont le droit d’être violents) et leur enseigne la détestation de soi, le mépris de leur propre culture (qui n’existe pas selon Micron), de leur passé, de leur histoire. Le gauchisme érige l’individu et ses droits au-dessus de tout : il n’y a dès lors plus de projet commun possible puisque chaque être est individualisé, isolé du tout que forme la société. N’importe qui peut devenir Français, une nationalité qui non seulement ne s’hérite plus mais ne se mérite même pas.Sur le souverainisme, je suis d’accord mais la réalité est que le peuple de France actuel est européiste, mondialiste du moins quand ça l’arrange (les délocalisations ça fait chier mais remplir sa maison de merdes pas cher venues de Chine, pas de soucis). Les gens votent d’ailleurs en majorité pour cela. Deux gauchistes mondialistes (Macron et Merluche) ont réalisé quasi 50% au premier tour. Ce n’est pas un hasard. Les arrivés récemment sont en écrasante majorité gauchistes électoralement parlant (en réalité ils sont ultra-droitards)... même si ce n’est que par intérêt personnel immédiat. Partant de là, il sera très difficile de mettre en place un souverainisme pur et dur. Pas en France en tout cas (dans d’autres pays c’est encore jouable, la pop étant encore saine d’esprit).
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@méditocrate
J’adhère entièrement à ce propos, fut-il un brin acerbe pour ceux qui se sont fait illusionner par les gesticulations d’un candidat qui reprenait à son compte un "réel" qui existe...réellement, mais qui en réalité n’était qu’une danseuse de l’oligarchie mondialiste...
Ce "réel" est effectivement un symptôme parmi bien d’autres qu’il serait débile de traiter de manière isolée, de surcroit avec en guise de levier les forces qui sont à l’origine de ce "réel" et qui seraient les premières à en tirer des bénéfices pour amplifier l’emprise par le biais de la division ou du "choc des civilisations"...
Il faut un traitement global et, j’insiste, à la racine pour se débarrasser de cette faction mafieuse mondialiste qui ne laissera jamais à une opposition authentique et déterminée la possibilité de scier la branche sur laquelle elle est assise...tant qu’on aura pas compris ça on continuera à faire le hamster dans sa roue...
Ils disposent de tous les outils pour conditionner l’opinion publique et par ricochet les résultats des élections...on pourrait se dire qu’avec un peu de patience et de travail etc etc blablabla...sauf que leur agenda est écrit à Davos, à Bruxelles, à Berlin, à Washington...l’échéance du point de non-retour est proche ou déjà dépassée, il est trop tard pour chercher le moyen de dynamiter le "système" de l’intérieur... -
Joli post du meditocrate sur la forme bien qu’un brin ampoulé (on dirait un texte de Zazie), sans doute une conséquence de cette fixation sur son nombril... Tiens, ça me rappelle quelqu’un... Attention quand même aux cervicales ! J’admets aussi que, dans le genre
psychologisme à deux balles gonflé de condescendance aussi grotesque qu’inique, on fait difficilement mieux. Sur le fond... hélas et comme toujours, c’est le grand vide même s’il est persuadé du contraire : il voit plus loin, lui... pas comme ces bas du fronts de suricates apeurés devant leurs télés.
"J’ai proposé"... mais quelle générosité ! Du haut de ses 3 articles pondus en 5 ans, ce véritable forçat de la plume et des idées a noblement proposé aux Herpestidae que nous sommes, que dis-je... aux lombrics que nous peinons à être de s’élever quelques instants à son niveau héliosphérique. Comment avons-nous pu passer à côté d’une telle aubaine ? Un génie de l’analyse métapolitique ("s’attaquer aux causes"... personne n’y avait jamais pensé avant lui) daigne descendre de son Olympe quelques secondes pour nous proposer une réflexion d’une profondeur inouïe (dont on a jamais vu le début du commencement mais c’est un détail) et nous, pauvres hères boursouflés d’ingratitude ratons le coche. Une autre fois peut-être...
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@Norman Bates
" il est trop tard pour chercher le moyen de dynamiter le "système" de l’intérieur..."
C’est hélas ce à quoi conduit cette réflexion : que rien n’est plus possible (à part commettre une dinguerie) car "ils" contrôlent tout. Les élections ne servent à rien car "ils" contrôlent l’opinion (ce qui n’est d’ailleurs pas complètement faux). Du coup à la fin... ah bah merde... on assiste à la réélection triomphale du pire de tous mais bon... à quoi bon se bouger pendant 2 minutes tous les 5 ans puisque cela ne sert à rien et que tous les autres sont dans la combine ?
Evidemment, au passage on réduit la réflexion de l’autre à "il serait débile de traiter de manière isolée ce symptôme" comme si c’était le seul évoqué. D’ailleurs ici, j’évoque plutôt une maladie globale de notre pays et de l’Occident en général, maladie qui ne touche pas d’autres contrées, comme quoi, "ils" ne contrôlent peut-être pas tout... et l’histoire est peut-être un peu plus complexe que cette monocausalité, que ce petit groupe qui contrôlerait tout et qu’il suffirait de "dynamiter" pour tout résoudre. D’ailleurs comment pourrions-nous le faire puisque, en dernière instance bien comprise, "ils" contrôlent tout de A à Z ? En fait, à la fin, rien n’est possible et tout combat politique est vain. Au mieux, ce que l’on peut faire c’est faire circuler un peu d’info alternative. D’ailleurs, pourquoi on en parle puisque rien n’est possible ? Autant échanger sur nos passions respectives plutôt, non ? Toi de la taxidermie, meditocrate de ses chevilles et moi du piano époque romantique...
Ceci me fait penser à nos débats en 2015-2017 alors que les upériens étaient en masse et très loquaces par ici. Avec eux, c’était un peu pareil : il suffisait de quitter l’UE, sortir de l’€ et de l’OTAN et... miracle... tous les pbs de la France qui n’ont pourtant rien à voir avec cela pour certains (et qui n’existent d’ailleurs pas ou infiniment moins dans des pays qui sont pourtant eux-aussi dans l’€/OTAN/UE mais c’est pas grave...) se règleraient instantanément (après un petit référendum où l’on demanderait à des Français qui réélisent des traîtres depuis 50 ans ce qu’ils pensent de ceci ou cela). C’est le pb de la monocausalité dans un monde aussi complexe : pour vaguement fonctionner sur le papier, elle doit évacuer tout une partie de la réalité et créer une sorte de cause des causes qu’il suffirait alors de traiter pour que toutes les autres causes et conséquences disparaissent miraculeusement. C’était l’obsession de Chouard. Les communistes avaient également cette obsession (pour eux, la cause des causes était la bourgeoisie qu’il suffisait de dynamiter pour que tout aille mieux) mais le mécanisme mental est le même.La grande illusion n’est-elle pas plutôt là ? Que de croire que parce que tu vas dessouder Klaus, Bill, la Roteuch family et qq autres huiles de ce calibre (je n’irai pas pleurer sur leurs tombes si ça arrive hein...), tout va miraculeusement rentrer dans l’ordre. Sans être trop acerbe moi aussi, il y a quand même un petit côté robinien. Son truc (du moment) à lui c’est la "Chine communiste" qu’il estime responsable même quand il écrase une crotte de chien avec ses tongs.
En réalité, ce système que tu veux dynamiter convient à beaucoup de nos concitoyens, je dirais même une très large majorité (j’exclus les plus exclus du système mais même dans un pays en voie de déclassement comme le nôtre, ils sont, proportionnellement à l’ensemble de la pop, peu nombreux) y compris toi, le brillantissime meditocrate et moi et à de nombreux égards quand on est lucide sur soi-même. Ce qui ne nous (c’est un large "nous") plaît pas, ce sont les excès, la mainmise excessive d’une poignée, l’injustice, la privation de nos libertés, etc. Ce qui nous dérange c’est aussi la destruction de notre environnement mais à laquelle nous participons également (peut-être moins que d’autres mais tout de même)... mais dans l’ensemble, ça passe et bien peu d’entre nous échangerions nos places pour une vie d’ermite intégral. Enfin bref, j’ai digressé (comme d’hab quoi...). -
@Conférençovore
Ce que vous décrivez c’est surtout le gauchisme européen. Une synthèse entre le néolibéralisme et l’anticonservatisme destructeur des gauches occidentales (les gauches ex-révolutionnaires ayant, quant à elles, souvent quitté ces approches dans la pratique. Car sinon elles n’auraient pas pu subsister à la tête de puissances stables). -
@V_Parlier
"Ce que vous décrivez c’est surtout le gauchisme européen."
Nous sommes en Europe, en effet."Une synthèse entre le néolibéralisme et l’anticonservatisme destructeur des gauches occidentales"
Néolibéralisme, je ne sais pas. Je crois que c’est plus simple que cela. Il faut regarder qui le défend pour mieux comprendre : une partie des gens issus de la diversité qui y trouvent, comme certains mouvements minoritaires (qui ne représentent pas forcément ces minorités, je pense aux LGBT) un vivier très fourni en excuses pour leurs postures victimaires mais... très essentiellement, des Blancs. J’ai toujours été frappé par la composition ethnique des mouvements d’EG : il n’y a que des Blancos. Dans des salles de conférence du cercle Léon Trotsky, j’ai parfois aperçu un étudiant noir (probablement en sciences molles et qui s’était perdu là) mais sinon c’était du 99,99% de petits (et je colle cet adjectif à escient) Blancs. Idem à la fête de l’humma dans les années 90 ou à la fête de LO à Presles. Du boomeur fonctionnaire , de l’universitaire, de l’étudiant en lettres, sc molles, histoires, langues O, etc mais quasi aucun en droit, maths ou phy. Très très peu d’entrepreneurs, d’artisans, de commerçants, de petits patrons... Ah oui... ils ont une explication à cela... la conscience de classes, etc, je connais par coeur leur discours. Bref, une écrasante majorité d’Européens de souche crachant sur le passé colonial de la France, l’oppression supposée de la France contre l’Afrique (ça, ça les travaille à bloc... bon, ils n’y ont jamais foutu les pieds et n’en fréquentent quasi pas mais ils connaissent leurs souffrances).
Il y a qq années, on a vu une photo d’une liste de candidats pour je ne sais plus quelle élection dans le 93 et ça a déclenché l’hilarité générale mais il y avait de quoi : la liste se prétendait "représentative du département" mais sur 10 personnes, il y avait 10 Blancs. Il suffit de discuter 5 minutes avec des gens issus de la diversité pour comprendre que cette maladie ne les atteint pas (à l’exception des activistes pré-cités mais qui sont ultra minoritaires en réalité). -
@Norman Bates
Il est certain que le grand plan mondialiste avance à pas de géant dernièrement.
un monde unipolaire n’a pourtant pas eu l’assentiment des peuples, c’est une révolution par les "élites", et c’est peut-être là leur talon d’achille. -
@Conférençovore
Vous saisissez bien que votre réaction en dit beaucoup sur vous même,
que je lis aussi bien votre critique en creux... ? :)Enfin...
Je vais détourner les yeux 30 secondes de ma nombrilissime flamboyance pour m’étonner sur votre cas. Vous semblez détenir toutes les clés de vos limites et pourtant vous stagnez ?Pour finir, quand vos dites : "aux lombrics que nous peinons à être de s’élever"
(Procédé réthorique un peu dégueulasse mais tellement à votre image.)
Non, vous incluez tout les autres.
Il n’y a que vous qui peinez à mes yeux en vous accrochant à l’inessentiel, en pondant du fait divers et en pensant mériter le pulitzer, en vous roulant dans la fange et en pensant que votre style balai dans le fondement costume 3 pièces vieux prof des écoles vous excuse... -
@méditocrate
Comme toujours, si l’on retire cette sempiternelle suffisance complètement déplacée et franchement risible, il ne reste plus rien de ce petit numéro habituel.
C’est vrai que ce n’était pas dégueulasse du tout de comparer les autres à des suricates apeurés derrière leur télévision. Toujours le même numéro : attaque perso et même pas directe (et ça, pour le coup, c’est très révélateur d’une personnalité), puis victimisation. Je salue tout de même l’effort d’avoir enrobé le tout d’une louable bien qu’archi-forcée tentative d’auto-dérision. -
"Pour répondre à cette question, il n’est pas utile de faire de longues phrases tant la feuille de soins est facile à écrire : La rencontre avec le réel."
Mais le réel, c’est fasciste !
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@Gaspard Delanuit
postnazi pour rester à la mode -
Comment guérir de la nécessité de croire que le gauchisme est une maladie... ? Les mêmes questionnements sont ceux qui prennent pour sujet le questionneur.
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@Serge ULESKI
"Comment guérir de la nécessité de croire que le gauchisme est une maladie... ?"
On peut élaborer toutes sortes d’échafaudages intellectuels et de systèmes alambiqués pour tenter de se convaincre qu’on est dans le camp des bons docteurs. Mais, en définitive, c’est toujours la nature qui a le dernier mot.
Il est donc assez raisonnable de prévoir qu’une idéologie qui nie la nature sera à un moment retoquée par la nature.
Or, il existe "à droite" comme "à gauche" des idéologies qui nient la nature : à droite, l’idéologie du productivisme matériel et de l’enrichissement personnel envers et contre tout, quitte à tout piller et tout détruire dans l’espoir d’augmenter son capital ; à gauche, la religion du progrès pour le progrès, qui prétend couper l’humanité de toutes ses racines et faire exister un improbable "nouvel homme" dans une apesanteur idéaliste qui n’est en réalité que l’antichambre de l’enfer.
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correction " les meilleurs questionnements"...
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savez-vous seulement à quel point nous avons besoin de ceux qui ne pensent pas comme nous ? Car eux seuls sont capables de nous aider à penser ce que l’on a bien failli oublier d’intégrer dans notre prétention à pouvoir penser le monde sans eux...
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@Serge ULESKI
Voici une sage philosophie. Je ne sais si vous l’incarnez dans votre existence mais vos interventions et vos rares dialogues sur ce forum n’en montrent guère l’application.
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@Serge ULESKI
Mais bien entendu que nous en avons besoin. Et ici, contrairement à tes modules où tu menaces et censures ceux qui pensent un peu différemment de toi, je laisse ces avis s’exprimer Et puisque nous sommes d’accords sur ce principe (enfin... au moins sur le papier), ce qui serait intéressant c’est que tu développes tes idées. En quoi la thèse de ce billet serait erronée ? -
Sujet ringard, et explications nulles.
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Ils s’en prennent au babtous solides, parce qu’ils les voient comme des menaces, pour le jour où les kouffars en auront plus que marre d’eux, et leur rendront la monnaie de leur pièce.
Comme ça s’est passé en Birmanie. Ils craignent ça, ils savent que ça va arriver.
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Ils préparent la soumission en s’en prenant au plus costauds et a ceux qui n’ont pas peur, c’est pour ça que ce sont souvent des rugbymans, des militaires ou des policiers qui sont attaqués en civils.
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