Comment guérir du gauchisme ?
Pour répondre à cette question, il n'est pas utile de faire de longues phrases tant la feuille de soins est facile à écrire : La rencontre avec le réel. C'est cela et rien de plus qui, bien souvent, force les moins infectés à ouvrir les yeux. "Souvent" signifie hélas "pas toujours" mais signifie aussi hélas que c'est un passage hélas obligé (oui... ça fait beaucoup de "souvent" et de "hélas" mais comme dirait Stanislas, "il n'y a pas d'hélice hélas, c'est là qu'est l'os"). Oui... hélas, la France est devenue un grand planeur qui se meut au gré des courants d'air ; et le gauchisme en est un puissant en cela qu'il a tendance à vous maintenir artificiellement en l'air pour vous orienter dans la mauvaise direction.
Ainsi, dans cette grande vadrouille qu'est devenue notre collective histoire ces dernières décennies et qui doit faire se retourner dans leur tombe tous nos héros du passé, voici celle d'Eliott, 26 ans, ancien gauchiste.
Cette présentation fait un peu "alcoolique anonyme" dans un groupe de parole : "Bonjour, je suis Eliott, 26 ans, je suis gauchiste". "Bonjour Eliott !"... mais... c'est un peu ça quand même même si "gauchiste" est sans doute un peu fort parce que si c'était vraiment le cas, s'il était vraiment imbibé par cette idéologie mortifère, alors il serait probablement sur Konbini ou Brut en train d'excuser ses agresseurs et s'auto-flageller d'avoir fait du french-spreading, du white-spreading dans ce train. Ah oui... ne m'en voulez pas, j'anticipe les futurs concepts fumeux des 1soumis... comprendre les "soumis en pôle position"... comprendre les gauchistes, comprendre les gens à plat ventre. Disons que nous avons là au moins un ancien jeune homme ayant évolué dans une réalité parallèle, celle précisément d'une France à la Bourvil-De Funès-Bébel où, le maximum de la violence se résume à se balancer deux trois bourre-pifs le soir du bal populaire de village et dont les horizons politiques se cantonnent à une lutte des classes à la papa.
Sauf que ça... tout cela, c'était avant... et Eliott a fini par faire cette brutale rencontre avec la réalité, une réalité aux antipodes de ses idéaux et de l'idéologie qui lui a été inculquée.
Alors cette histoire se termine pas trop mal physiquement et même très bien mentalement (il est guéri), certes avec quelques bleus à la caboche mais des idées finalement remises en bon ordre. Pour autant, ne nous réjouissons pas trop car de trop nombreuses autres se terminent avec des handicaps à vie (comme Marin et tant d'autres) ou finissent dans l'oubli d'une fatalité tristement admise par la majorité : on te tue, mais... c'est la vie quoi ! Pas d'amalgames hein... parce que tes assassins sont aussi... correction... sont les premières victimes (si si !) de leur violence ! Voilà les sinistres mantras répétés par les tenants des cordons de la bourse. En 2022, ce n'est plus "la bourse ou la vie ?", c'est les deux. Et les vies en jeu sont les nôtres.
Bref, bien que tristement banale, voici une histoire intéressante racontée par l'intéressé lui-même via VA Plus (abonnez-vous), celle d'un repenti et guéri d'une pathologie mentale, d'une personne guérie de cette maladie. Quant au virilisme et son utilité, ces débats sont dépassés. Il n'y a pas d'hélices et ce n'est pas un os. A chacun d'en fabriquer une s'il ne veut pas s'écraser.
Tags : Témoignage Violence
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