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Fin de l’argent liquide, euro numérique, crédit social : la dictature s’organise

Le 26 mai à 7h, Claude Janvier, Charles Sannat et François Asselineau sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu en direct sur Géopolitique Profonde.

Claude Janvier est un écrivain et essayiste français connu pour ses prises de position tranchées sur des sujets de société et de politique. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages qui explorent les dynamiques de pouvoir et les influences cachées au sein des structures étatiques et supranationales. Son dernier livre s’intitule « L’État Profond Français ».

Charles Sannat est un économiste français, fondateur du site Insolentiae, connu pour ses analyses critiques de l’économie, sa défense de l’or physique et sa vision contrarienne des marchés.

 

François Asselineau est un haut fonctionnaire et homme politique français, président de l’Union populaire républicaine (UPR) depuis sa création en 2007. Diplômé de HEC Paris et de l’ENA, il a mené une carrière de haut fonctionnaire dans différents cabinets ministériels sous les gouvernements de droite des années 1990. En politique, il est connu pour sa défense de la sortie de la France de l’Union européenne, de la zone euro et de l’OTAN, position qui le place souvent dans le spectre souverainiste.

Retrouvez la revue de presse dès 7h, Claude Janvier à 7h30, Charles Sannat à 8h et François Asselineau à 9h.

Le contrôle numérique en France : l’arme centrale du pouvoir politique

L’État français, en parfait exécutant du projet globaliste européen, avance masqué derrière les paravents de la sécurité et de la santé publique. Gérald Darmanin, désormais ministre de la Justice, orchestre une nouvelle offensive technologique contre les libertés : reconnaissance faciale dans les espaces publics, traque des citoyens par algorithmes, criminalisation de l’argent liquide.

Ce dernier, présenté comme le nerf de l’économie parallèle, devient le prétexte idéal pour précipiter le basculement vers l’euro numérique, priorité absolue de Christine Lagarde et de la BCE. La mascarade atteint son sommet lorsque Lagarde, piégée par les satiristes russes Vovan et Lexus, admet que l’usage « excessif » de cash pourra valoir une condamnation pénale. Une ligne rouge est franchie : la monnaie devient instrument de surveillance, et la dissidence économique, un crime.

L’euro numérique, loin d’être une modernisation innocente, constitue l’infrastructure du crédit social à l’européenne. Chaque transaction, chaque achat, chaque retrait sera traçable, analysable, bloquable. Dans cette architecture de contrôle, les fausses pandémies tombent à pic. Chaque nouveau variant sert à justifier un nouveau verrou : confinements localisés, restrictions de mouvement, QR codes de santé.

Le précédent covid a fourni le prototype. Désormais, toute opposition peut être rendue invisible par simple désactivation de son « profil citoyen ». La Chine a son modèle, l’Europe a trouvé le sien.

Le verrouillage des élections, nouvelle norme démocratique

Bruno Retailleau, futur candidat présidentiel et actuel ministre de l’Intérieur, entend transformer le vote en une simple formalité numérique. Le vote électronique, cheval de Troie d’une fraude systémique, s’impose dans le discours officiel comme une solution pratique et moderne.

En réalité, il permet de neutraliser les résultats gênants pour le système. Les dérapages de la Roumanie, où des partis anti-système ont percé, ont servi de signal d’alarme à Bruxelles. Le vote électronique est l’antidote à la souveraineté populaire. Une élection contrôlée de bout en bout garantit que seuls les candidats validés par l’appareil globaliste puissent émerger.

Derrière ce rideau de pixels, la fraude devient non seulement possible, mais structurelle. Algorithmes opaques, audits impossibles, dépouillement virtuel : tout est conçu pour effacer la main du peuple. Le bulletin de vote physique, dernière relique tangible de la démocratie, est voué à disparaître. Retailleau, en bon exécutant, transforme la République en une technocratie verrouillée.

Le citoyen, dépossédé de son pouvoir électoral, n’a plus qu’à se soumettre ou à disparaître dans l’abstention. L’illusion démocratique est sauve, le contrôle, total.

La censure numérique pour museler la contestation

Emmanuel Macron, fidèle à sa logique de gouvernement par l’urgence morale, s’attaque désormais à la liberté d’expression sous couvert de « protection de l’enfance ». Les réseaux sociaux, ultime espace de contre-information, sont dans sa ligne de mire. Derrière les appels à protéger les mineurs des « contenus violents », se cache une volonté assumée de censurer toute parole dissidente. Algorithmes de modération, suppression de comptes, déréférencement massif : les outils sont prêts, et le cadre légal se renforce.

L’objectif est limpide : empêcher l’émergence de récits alternatifs à ceux diffusés par les médias d’État et les grandes plateformes alignées. Toute critique du système, tout exposé des dérives du pouvoir, sera étiqueté « complotiste », « dangereux » ou « toxique ». La parole libre devient une menace à neutraliser. Pendant ce temps, la France glisse doucement vers l’insolvabilité.

Le poids de la dette rend la tutelle du FMI inévitable, parachèvement d’une perte de souveraineté méthodique. Von Der Leyen, en digne commissaire impériale, intime à Orban d’effacer toute transparence sur le financement des ONG : en Europe, il ne faut pas savoir qui paye pour manipuler les peuples. La boucle est bouclée.

IMPORTANT - À lire

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https://geopolitique-profonde.com

Tags : Euro Union européenne Argent




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2 réactions à cet article    


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    Étirév 28 mai 15:08

    Abdel Wahed Yahia le Visionnaire et les 40 voleurs oligarchiques
    Le Visionaire :
    « Le contrôle de l’autorité spirituelle sur la monnaie, sous quelque forme qu’il se soit exercé, n’est d’ailleurs pas un fait limité exclusivement à l’antiquité, et, sans sortir du monde occidental, il y a bien des indices qui montrent qu’il a dû s’y perpétuer jusque vers la fin du moyen âge, c’est-à-dire tant que ce monde a possédé une civilisation traditionnelle.
    « Il est donc arrivé là ce qui est arrivé généralement pour toutes les choses qui jouent, à un titre ou à un autre, un rôle dans l’existence humaine : ces choses ont été dépouillées peu à peu de tout caractère « sacré » ou traditionnel, et c’est ainsi que cette existence même, dans son ensemble, est devenue toute profane et s’est trouvée finalement réduite à la basse médiocrité de la « vie ordinaire » telle qu’elle se présente aujourd’hui.
    « Pour en revenir à la question de la monnaie, nous devons encore ajouter qu’il s’est produit à cet égard un phénomène qui est bien digne de remarque : c’est que, depuis que la monnaie a perdu toute garantie d’ordre supérieur, elle a vu sa valeur quantitative elle-même, ou ce que le jargon des « économistes » appelle son « pouvoir d’achat », aller sans cesse en diminuant, si bien qu’on peut concevoir que, à une limite dont on s’approche de plus en plus, elle aura perdu toute raison d’être, même simplement « pratique » ou « matérielle », et elle devra disparaître comme d’elle-même de l’existence humaine. On conviendra qu’il y a là un étrange retour des choses, qui se comprend d’ailleurs sans peine par ce que nous avons exposé précédemment : la quantité pure étant proprement au-dessous de toute existence, on ne peut, quand on pousse la réduction à l’extrême comme dans le cas de la monnaie (plus frappant que tout autre parce qu’on y est déjà presque arrivé à la limite), aboutir qu’à une véritable dissolution. Cela peut déjà servir à montrer que, comme nous le disions plus haut, la sécurité de la « vie ordinaire » est en réalité quelque chose de bien précaire, et nous verrons aussi par la suite qu’elle l’est encore à beaucoup d’autres égards ; mais la conclusion qui s’en dégagera sera toujours la même en définitive : le terme réel de la tendance qui entraîne les hommes et les choses vers la quantité pure ne peut être que la dissolution finale du monde actuel. » (A.W.Y.)
    Les 40 voleurs :
    Le président étasunien F.D. Roosevelt disait : « En politique rien n’arrive par hasard. Chaque fois que survient un événement, on peut être certains qu’il avait été prévu pour se dérouler de cette façon. »
    sous l’égide de la Banque des Règlements Internationaux (B.R.I.), la prochaine étape de la stratégie, jusqu’ici gagnante, des « puissances d’argent » sera la mise au point d’une monnaie mondiale. La Chine et la Russie, qui sont, rappelons-le, membres de la B.R.I., sont parties prenantes de cette stratégie : la Chine en tant que moteur principal des DTS tandis que la Russie a raccroché les « wagons du train » de la monnaie mondiale.
    Cette future monnaie, qui chapeautera toutes les monnaies du monde, devra circuler sous forme exclusivement dématérialisée et sera entièrement contrôlée par les élites bancaires globalistes.
    Une fois en place, cette monnaie dématérialisée contrôlera parfaitement et définitivement la vie privée de tous ses utilisateurs, alors même que personne ne pourra échapper à cette dématérialisation monétaire pour les échanges nécessités par la vie courante.
    « Celui qui contrôle la monnaie d’un peuple, contrôle ce peuple. », disait le président des États-Unis, J.A. Garfield, farouche partisan d’un « argent honnête », élu en 1880... et assassiné en 1881.
    Par conséquent, celui qui contrôlerait la monnaie du monde contrôlerait le monde.
    C’est pourquoi l’avènement de cette monnaie mondiale sera le premier pas institutionnel vers le gouvernement mondial oligarchique.
    Rappelons que les oligarques à la manœuvre sont précisément ceux qui ont organisé et profité de toutes les formes que l’esclavage a pris ces 400 dernières années. Ils ont aujourd’hui conquis les pouvoirs politiques de la quasi-intégralité des pays du monde par le contrôle qu’ils ont pris sur les monnaies et sur le système économique mondial. Ce contrôle a pris la forme de la corruption élevée au rang légal par les Anglo-saxons : le « lobbying » est la transcription juridique, et donc la légalisation, de ce que le droit traditionnel appelait « corruption d’agents publics ».
    Le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale.
    LIEN


    • 3 votes
      PLACIDE2 28 mai 16:34

      L’Agenda est limpide : Importer des barbares (les migrants) pour doper les fraudes, l’insécurité et le narco-trafique et utiliser ces alibis pour supprimer l’argent liquide et nous aliéner définitivement .



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