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Jean-Dominique Michel : que sait-on vraiment de l’origine du Covid-19 ?

Dans cet extrait de notre entretien long format, l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel revient sur l’une des grandes questions qui continue d’interpeller scientifiques et citoyens : l’origine du SARS-CoV-2. Fuite de laboratoire, zoonose naturelle, manipulation génétique ? Il passe en revue les hypothèses les plus discutées, les éléments connus… et ceux qui ont été passés sous silence.

À travers ses réflexions, Jean-Dominique Michel évoque les recherches sur les « gains de fonction » et les possibles implications militaires et industrielles derrière certaines approches de la virologie moderne.
Il revient aussi sur l’apparition précoce du virus en Europe, les rôles de certaines figures clés comme Anthony Fauci ou Peter Daszak, et les financements massifs qui ont soutenu la réponse pharmaceutique.

Une discussion éclairante qui questionne la version officielle des événements, sans céder au sensationnalisme, en appelant à un vrai débat scientifique et démocratique.

Tags : Santé Finance Hôpital Covid-19 Médecine




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18 réactions à cet article    


  • 4 votes
    JL 19 mai 11:51

    Tant qu’on s’interroge sur l’origine du virus, on ne remet en cause, ni sa supposée existence, ni sa prétendue dangerosité, et pas davantage la légende du vaccin qui sauve le monde.

     

     

     


    • vote
      JL 19 mai 11:53

      C’est bien joli de dire qu’on a observé un virus au microscope. Mais comment sait-on que ce que l’on a observé est un virus ? Est-ce qu’il n’y a pas là comme un tour de passe passe ? Un raisonnement circulaire ?
       

      Principe du microscope électronique à balayage (MEB)

      « Ce microscope électronique utilise un faisceau d’électrons ponctuel pour « éclairer » l’échantillon. Les caractéristiques des électrons lui permettent d’obtenir des grossissements élevés allant jusqu’à 200’000x avec une netteté excellente.
      Comme pour le microscope électronique à transmission l’utilisation d’un faisceau d’électrons implique que la colonne et la chambre dans laquelle se trouve l’échantillon soient sous vide poussé pour que les électrons ne soient pas arrêtés-déviés par les molécules d’air.
      « Des lentilles électromagnétiques et des diaphragmes focalisent le faisceau sur la surface de l’échantillon. Pour améliorer la qualité des images d’échantillons biologiques leur surface est recouverte d’une fine couche métallique, habituellement de l’or. La pénétration des électrons dans la matière est très faible, surtout après métallisation. On obtient donc une image de la surface de l’échantillon.
      Certains échantillons biologiques relativement secs peuvent être observés directement après métallisation sans préparation particulière : graines, grains de pollen… Par contre
      des échantillons mous ou hydratés nécessitent une préparation : fixation chimique, lavages, déshydratation, séchage et métallisation. »



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