La catastrophique chronique de Damien Rieu sur Ligne Droite
La chronique de Damien Rieu sur Ligne droite
Suite au massacre de Crépol (Drôme) survenu lors du weekend passé, Damien Rieu a lu une chronique à mon sens... désastreuse. Sa punchline "un Nahel par an mais un Thomas par semaine" tombe à l'eau. C'est bien simple : Rien ne va dans cette chronique. Au moins six raisons à cela :
1/ Contrairement à l'autre, Thomas était apparemment un jeune homme sans histoire, un garçon unanimement apprécié qui avait sans doute d'excellentes valeurs liées notamment au rugby. Mettre sur le même plan ce gamin et l'autre racaille de Nanterre est absolument révoltant.
2/ Il n'a pas été tué par la police alors qu'il commettait un énième délit de fuite au risque d'écraser tout le monde sur son passage. Il a été massacré par des racailles. Le motif de cette attaque sanglante reste énigmatique mais avec les racailles, le simple fait de leur refuser d'entrer dans une soirée privée peut terminer en boucherie. D'après les premiers témoignages, il n'y a rien de plus que cela : un déferlement de violence parce que deux ou trois racailles auraient été éconduits â l'entrée d'une soirée...
La mort de Thomas n'a strictement rien de comparable avec celle du chauffard sans permis de Nanterre.
3/ Son entourage n'appellera certainement pas à l'émeute. Sa mère ne fera pas non plus un ridicule défilé dans les rues comme si elle avait gagné la coupe du monde. Les familles françaises se montrent dignes face à la douleur. Mais peut-être que c'est cela le problème... Peut-être faudrait-il que les Français se mettent en colère parce que manifestement, les racailles d'en haut sont à l'image de celles d'en bas : elles ne respectent et craignent que la force, raison pour laquelle elles laissent se dérouler les émeutes des banlieues quand il y en a.
4/ Au-delà de celle parfaitement légitime des milieux de droite, le silence politico-médiatique est assourdissant. C'est l'exact opposé des histoires d'extra-européens qui fuient la police ou qui résistent à leurs arrestations, qui finissent mal et dont les familles sont très souvent soutenues par toute une partie de la classe politique. Aucune starlette ne viendra déplorer la disparition de ce jeune homme. Contrairement à la racaille "nanterrienne" qui, finalement, n'est morte que par sa propre faute, il n'y aura pas de minute de silence pour Thomas, victime de la sauvagerie que nous avons tous laissé s'installer chez nous. Il est probable que même si la police parvient à retrouver les auteurs du raid criminel de Crépol, il sera certainement très difficile de trouver celui qui l'a tué parmi cette brochette de racailles. Ces dernières jouent là-dessus. Elles jouent sur le fait que, dans ces cas de lynchage, il est très difficile de déterminer qui commet le geste fatal. Alors quand ils sont confondus, la justice se contente de condamner à quelques années de prison les auteurs. Très souvent, beaucoup s'en sortent sans faire un seul jour à l'ombre.
5/ Là où je pourrais rejoindre Damien c'est que, toute proportion gardée, Thomas et la vingtaine de victimes de cet attentat d'une barbarie inouïe, ne sont pas sans rappeler les raids de certains groupes djihadistes. Mais là encore, il y a eu une monumentale différence qui rend cette chronique et ce parallèle complètement lunaires et, j'ose le dire, stupides : Thomas n'a colonisé personne. Il n'est en guerre continue et larvée contre personne. Lui et les autres victimes ont été la cible d'une très probable ratonnade anti-blanche. La comparaison est inepte. Nos racailles peuvent avoir une motivation religieuse mais bien souvent, la seule motivation est un mélange de frustration, de haine des autochtones français, de jalousie, de volonté de marquer le territoire et parfois de simple envie d'infliger souffrance et humiliation. Bien souvent, il n'y a que cela derrière ces agressions dites gratuites et qui ne le sont pas en réalité : c'est une guerre totalement asymétrique qui nous est menée sur notre propre sol avec la coupable passivité et parfois même la complicité active des élites. Cette guerre n'a strictement aucun rapport avec celle qui oppose l'État israélien et certains colons aux groupes armés islamiques et populations palestiniennes. Ça n'a non seulement aucun rapport mais c'est même l'inverse puisque l'État français protège la racaille et encourage l'immigration de masse et de peuplement extra-européen.
6/ Hélas, ce n'est pas un "Thomas par semaine". Que ce soit des personnes âgées, des femmes, des jeunes gens, il ne se passe pas un seul jour sans que ces agressions, parfois mortelles et très souvent traumatisantes à vie, se déroulent en France, dans le silence complice de toute cette élite profondément et systémiquement anti-française de souche (sauf quand cette caste est directement touchée).
Notre milieu devrait peut-être songer sérieusement à abandonner ces parallèles idiots. Ce sont en écrasante majorité des Français de souche qui se font massacrer en France (voir le trombinoscope des victimes du Bataclan). Notre vrai problème est là. Ne consacrer qu'une minute sur cinq de sa chronique à la mort de Thomas (sur laquelle il y avait beaucoup à dire) contre les quatre autres aux problèmes israélo-arabe et leurs soutiens islamo-collabos en France, c'est une faute politique et morale.
Enfin et en guise de conclusion, s'agissant de ces racailles, Damien parle "des colons du Hamas". Se faisant, il associe notre pays à une problématique qui ne nous concerne non pas en rien (lors de l'attaque du 7 octobre, 40 Français ont tout de même perdu la vie...) mais ne concerne qu'une infime partie de la population française, même si c'est encore trop. Il faudrait peut-être qu'il se rappele que les Français sont, à plus de 99% pas juifs et à plus de 85% pas musulmans non plus.
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