On évoque toujours les comorbidités.
Mais qui dit comorbidités, dit généralement traitements contre les comorbidités.
Alors je pose la question : sont-ce les comorbidités qui sont facteurs aggravants face aux virus opportunistes ? Ou bien les traitements médicamenteux ?
La levée de boucliers contre le protocole Raoult ne serait-elle pas basée sur le fait qu’il est antinomique de certains traitements administrés ou en prévisions dans les cartons ? Par exemple, il est envisagé d’utiliser des chélateurs du zinc pour traiter la maladie d’Alzheimer.
« Selon un nouveau travail mené chez la souris en Corée et aux Etats-Unis, et publié dans les « Proceedings » de l’Académie des sciences américaine, le zinc synaptique favoriserait la formation de plaques amyloïdes. Selon les chercheurs, la chélation du zinc pourrait donc être une alternative thérapeutique »
Serait-on condamnés à aller de Charybde en Scylla ? Depuis trop de zinc et Alzhzeimer, jusqu’à pas assez et covidites à foison ?
Soigner les jeunes et les vieux avec les mêmes produits n’est ni une voie prometteuse ni un procédé réjouissant..