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Accueil du site > Tribune Libre > « Le Mystère de Marie Madeleine » avec Christian Doumergue

« Le Mystère de Marie Madeleine » avec Christian Doumergue

A l'occasion de la sortie du film « La Passion de Marie Madeleine », un documentaire-fiction dédié au personnage biblique de Marie Madeleine réalisé par Marc Bielli, l'équipe de Nuréa TV reçoit l'écrivain et documentaliste Christian Doumergue.

Marie Madeleine, icône féminine de l'entourage du Christ, est certainement l'un des personnages les plus fascinants et énigmatique de la Chrétienté. Pécheresse, prostituée repentie, Apôtre des apôtres, compagne du Christ voire mère de ses enfants, Marie Madeleine est l'objet d'innombrables questionnements auxquels Christian Doumergue tentera d'apporter des éléments de réponse susceptibles de redonner à Marie Madeleine la place centrale qui est la sienne dans l'Histoire de la Chrétienté. Et si l'histoire telle qu'elle nous est contée avait omis l'essentiel ?

 

A l'occasion de la sortie du film "La passion de Marie Madeleine" de Marc Bielli, l'équipe de BTLV reçoit le théologien Jean-Pierre Bonnerot, le philosophe Mathias Leboeuf et l'écrivain et documentaliste Christian Doumergue :

 

Teaser : La Passion de Marie Madeleine :

Liens :

https://www.nurea.tv/video/le-mystere-de-marie-madeleine-avec-christian-doumergue/

www.btlv.fr

http://www.christiandoumergue.com/

Tags : Religions




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2 réactions à cet article    


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    Étirév 4 octobre 2019 04:35

    Origine de des « Marie » Madeleine et Mère de Jésus
    Marie fut appelée pure et immaculée bien longtemps avant l’introduction de ce dogme dans l’Église. En cela, elle ne fit que bénéficier de la loi qui s’étendait à tout le sexe féminin. Mais il fallut une circonstance pour que l’on affirmât avec tant d’exagération et de louanges inusitées une qualité que toutes les femmes possèdent dans l’ancienne religion.
    Cette circonstance, c’est l’offense que lui firent les prêtres de la Synagogue en la déclarant pécheresse ou impure et en l’empêchant sous ce prétexte de pénétrer dans leur Temple. C’est cette accusation que le second Christianismemettra dans la légende de Marie Magda, devenue Marie-Madeleine, la pécheresse repentante.
    Une question se pose ici : où le Catholicisme a-t-il pris le culte de Marie, puisqu’il n’est pas indiqué dans les Évangiles qu’il a acceptés ?
    Il a tout simplement continué le culte de Myriam et a pris dans l’histoire de cette grande femme des données qu’il a introduites dans l’histoire de la Vierge Marie. C’est le prestige qui s’attachait au nom de la grande Myriam qui donna tout de suite de l’autorité et de la sainteté à la nouvelle Marie qu’elle allait représenter. Les souvenirs de Marie l’Égyptienne, ses légendes, furent introduits dans l’histoire de la Vierge Marie.
    L’abbé Orsini dit (dans l’Histoire de la Vierge Marie, t. I, p. 288) : « Marie fut la colonne lumineuse qui guida les premiers pas de l’Église naissante. L’Étoile des mers réfléchissait encore ses plus doux rayons sur le monde renouvelé et versait de bénignes influences sur le berceau du Christianisme. »
    Or le Christianisme qui s’est occupé d’une Marie, c’est celui de Johanna ; ce n’est pas, celui de Paul, qui était venu combattre la Femme et qui, loin de glorifier Myriam la grande, en fit la Magdeleine pécheresse et repentante, suivant la tradition haineuse de la Synagogue.
    Marie de Magdala, c’est Myriam calomniée, avilie, outragée ; on la fait repentie et humiliée. Quelle profanation !...
    L’histoire de Jésus ayant été copiée sur celle de Jean, la mère de Jésus fut d’abord la copie d’Elisabeth, mère de Jean.


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      Jean Keim Jean Keim 27 octobre 2019 07:25

      Toujours cette même référence à un savoir immémorial que connaîtraient notamment certains initiés, ce même savoir aurait été repris maintes fois par de grands initiés (Hermès pour ne citer que lui), par Jésus qui l’aurait distillé à certains de ses disciples les plus affûtés (Marie, Jean, Lazare), ce même savoir aurait été connu des gnostiques, de Vinci, de Poussin, des Roses-Croix, des Cathares, des Templiers, des Francs-maçons, ..., tout cela est au conditionnel, tout cela est puéril.

      Cela me fait songer à un dialogue entre Krishnamurti et une personne qui voulait devenir son disciple pour être initiée à « un savoir secret », K lui a clairement signifié qu’il n’avait pas et qu’il n’y avait pas d’enseignement secret et que le message essentiel tient en peu de chose : désapprendre, laisser les idées mourir en nous de leur belle et bonne mort, les remette à leur place : elles ne sont que des informations, relire à ce sujet le dialogue entre Jésus et Nicodème ce docteur de la foi (Jean 3, 1-9). La vérité ne peut pas consister en un savoir ultime, cela n’aurait aucun sens, la vérité est un état d’être qui s’exprime dans le mouvement de la Vie.

      C’est ce que Jésus appelle faire un avec le Père.



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Elouan

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