@Deepnofin
il me semble que c’est la grève, le premier outil, le plus cohérent.
Pas convaincu car il faut avoir de sacrées économies pour tenir, et à ce petit jeux là, la finance internationale peut tenir presque indéfiniment. Et puis le mal est bien plus profond qu’un conflit social entre patrons vénaux et employés exploités, il s’agit d’une remise en question totale de l’organisation politique de notre pays, on est plus proche d’une révolution que d’un conflit social même d’envergure.
Et puis c’est clivant je trouve, car certains sont au chômage et pourraient ne pas se sentir concernés, d’autres qui soutiendraient les GJ peuvent ne pas avoir de problèmes particuliers avec leurs employeurs car les patrons sympas ça existe malgré tout même si c’est rare. Et puis la grève, ça a ce côté extrême gauche "camarade Popov" qui en rebutent pas mal. Je ne nie pas son efficacité passée sur certains conflits, c’est un droit inaliénable contre les abus de certains.
A mon avis, il faut impérativement rester en dehors des cases politiques clivantes dans lesquelles les médias nous enferment depuis toujours. Nous recentrer sur ce que nous avons en commun, notre pays, son organisation politique, sociale, économique et médiatique et pour ce faire il faut avoir un discours incluant tout le monde, mais je peux me tromper.