@jeanpiètre Parce que tu croies que lorsqu’on voit la tienne ça fait envie ? T’es du genre "fouf mal rasée", c’est ça ?.. Il est temps de te dégager le fion de toutes les pertes blanches que tu publies sur agoravox, pauvre nouille...
@jeanpiètre
Et toi, pauvre nouille, quand est-ce que tu calme ta joie ? Tu la remplace pas quoi, au juste, l’intelligence ? Pauvre nouille....
@jeanpiètre
Mon morceau, n’est pas "naze", il est bon. C’est toi, qui est "naze". Je n’ai pas voulu "jouer jimi", j’ai voulu jouer quelque chose qui m’est inspiré par son style. Ce morceau n’est pas une catastrophe, c’est ta nullité, et même ta connerie, qui sont des catastrophes.
La mort...
@couteau
Voilà alors, deux autres vidéos de notre "prophète ministériel". Si, après celles-là, tu n’as toujours pas compris ce que cela veut dire "jobardise", c’est que tu dois l’être aussi, un peu toi-même, non ?
Les songes prophétiques envoyés par Dieu lui-même, à notre "ministre" de la Foi :
https://www.youtube.com/watch?v=1puvTjjao-M
Notre "ministère prophétique" voit maintenant "Jésus marcher dans la lumière, sur les nuées" :
@zzz999
Par exemple, cette autre vidéo de notre "prophète ministériel", lequel prétend avoir vu "Jésus marchant dans la lumière, sur les nuées" :
@zzz999
Je n’attaque pas les chrétiens, j’attaque ceux qui utilise la religion chrétienne dans avec des motivations fondamentalistes ou radicales, et aussi à des fins sectaires. J’attaque ceux qui, comme ce jobard, cultivent et vont cultiver aux autres qu’il manipule, un rapport tout à fait anormal, sectaire, (je souligne), voire même pathogène, avec la foi.
@ged252
Des victimes ? Mais on les entend dans la vidéo. Et il y en a une qui montre ses jambes.... Quelqu’un qui a pu être complaisant ou complètement endoctriné par ce jobard pour se livrer à de telles "expériences".. En plus ce "prophète" organise des séminaires à Sanary-sur-mer. Et pour ce qui est de victimes endoctrinées et sous le contrôle de ce sale type, j’en connais une qui m’est très proche. Ok ?
... sans parler de la recrudescence de l’esclavage en Lybie. Voilà quels furent les effets de notre apôtre international de la liberté des peuples et de la démocratie que BHL.
@Yaduboulo
Ce que l’on vient vous expliquer, en long, en large, et en travers (...), c’est justement que la psychanalyse n’est pas apte, contrairement à ce que ces défenseurs prétendent, à constituer une source viable de recherche de quoique ce soit qui touche à l’humain, faute d’avoir prouvé de manière valide qu’elle en était capable.
Mais je commence à comprendre qu’avec vous, il ne sert à rien d’argumenter, de présenter des arguments épistémologiques valides. Cela ne sert absolument rien. Les gens qui manient l’épistémologie et la logique contre la psychanalyse, le font à bon droit, ne vous déplaise, et ne prétende pas résoudre tous les problèmes scientifiques, comme le leurs enseignent précisément l’épistémologie et la logique. Par contre, ces deux disciplines peuvent apporter des certitudes sur les prétentions de tels ou tel autres corpus théorique à être doté de pouvoirs descriptifs.
Les sciences de la Nature, si et seulement si elles sont scientifiques, ne peuvent apporter aucune certitudes, ni rendre les scientifiques orgueilleux, comme vous dites, par contre la logique et l’épistémologie fondée sur la logique comme celle de Karl Popper, peut apporter des certitudes sur ce qui prétend avoir une valeur descriptive objectivement démontrable.
C’est votre choix de rester sourd, et d’éluder les arguments que l’on vous soumet, et de feindre, qui plus est, l’ouverture d’esprit. Mais c’est aussi le mien, de choisir de plus vous répondre, et de douter fortement de votre ouverture esprit ainsi que de votre aptitude à la discussion critique.
Bonne continuation quand même.
Je profite de l’occasion d’écrire, "en dernier", pour répéter ceci :
1. Je ne suis en aucune façon, un "sataniste", ou je ne sais quel "adorateur de Satan", ou de Baphomet, en l’occurrence, etc., etc.
2. Je suis croyant, je crois en Dieu, je suis de religion catholique, et même si je connais des auteurs qui pensent avoir démontré l’absurdité d’une telle croyance, j’ai toujours ma foi en Dieu, même si je ne suis pas un pratiquant régulier.
3. Je crois dans les valeurs du Bien. La Vérité, l’Amour, la Vie, le Courage, l’Honnêteté, etc. Et je ne vois vraiment pas pourquoi je devrais avoir honte, ou me sentir ridicule de l’écrire.
Ce clip tentait de mettre en exergue ce qui est pour moi diabolique dans l’invention de l’arme atomique, arme de destruction massive, dont hélas, comme chacun le sait, l’être humain a déjà fait usage, à deux reprises, contre ses semblables, au Japon. Diabolique, parce que je pense que si nous recommencerions à l’utiliser dans un conflit généralisé, il y a toutes les chances pour que cette fois, l’Humanité n’y survive pas. Je pense aussi que tout ce qui tend à donner une puissance illimitée à l’être humain, ou cette impression de toute puissance, n’est pas fait pour lui. Et enfin, je pense qu’il relève de la volonté du Diable, plutôt que Dieu lui-même, le fait d’avoir pu parvenir à réaliser et à mettre en oeuvre des telles choses. L’être humain a donc été plus inspiré par le Diable que par le Bien pour réaliser et mettre en oeuvre l’arme atomique.
Pour le pétrole, c’est la même chose. De façon encore très imagée, bien entendu, j’identifie, comme d’autres d’ailleurs, le pétrole, au "sang du diable". La découvertes de ses infinies possibilités a, certes, entraîné la Révolution Industrielle et tous les changements que l’on connaît aujourd’hui, mais... à quel prix ? Et comme pour l’arme atomique, le jour où nous n’aurons plus ce "sang", et si nous n’avons pas trouvé d’autres alternatives, je crains que ce soit aussi la fin de l’Humanité.
@Yaduboulo
"Des auteurs...offrent une source inépuisable de points de vues pour répondre à cette question simple et extrêmement complexe : Qui suis-je ?"
Ainsi, tout ce que j’ai écrit, comme d’habitude, ne sert strictement à rien, est éludé, ignoré, balayé d’un revers de main par le type de réponse qui est présentement la vôtre, et qui ressemble, trait pour trait, au type de réponse que l’on reçoit de la part de quelqu’un d’attaché, ou de très attaché à la psychanalyse, mais qui veut donner l’impression d’une réelle ouverture d’esprit...
Donc, je répète (...) :
Il n’y a, je vous le répète, strictement pas l’ombre du commencement de la moindre preuve qui ait pu être validement corroborée par un seul des auteurs que vous me citez, ou tout autre psychanalyste, ou tout autre chercheur ayant soi-disant tenté de mettre à l’épreuve l’une quelconque des théories de la psychanalyse, sans les dénaturer de son engagement ontologique princeps, le déterminisme psychique inconscient, prima facia absolu et excluant tout hasard et tout non-sens.
ll n’y a pas de preuves, et je vous répète, comme je l’ai démontré sur la base des arguments de Popper et d’autres, il n’y a pas la possibilité ne serait-ce que logique et épistémologique d’établir la moindre preuve valide.
Partant de là, ni Green, Diel, Jung, Reich, Ferenczi ou tout autre, n’ont pu apporter la moindre preuve de tout ce qu’ils avancé sur la base de la théorie de l’inconscient de la psychanalyse, (ou de leur psychanalyse), ou de celle du refoulement inconscient.
Donc, ces auteurs-là, ou tout autre se réclamant de la psychanalyse, ne peuvent pas avoir répondu à la question "Qui suis-je", sur la base de preuves valides corroborées. C’est impossible. Vous comprenez ?
Comment répondre à la question "Qui suis-je ?" et par quelle science, dites-vous ? Voudriez-vous insinuer par là que, non seulement la psychanalyse serait la seule à pouvoir prétendre y répondre, alors qu’elle n’est pas en mesure d’étayer ses réponses sur des preuves, mais encore que les neurosciences, les sciences cognitives, la psychologie scientifique, la biologie, la physiologie, la physique, sont des sciences inutiles ou qui n’ont jamais pu apporter de réponses ??!!
"Je pense que la psychanalyse a un rôle à jouer, pour être le révélateur d’une conscience subversive (...)".
Mais, où sont les preuves valides et corroborées par des tests que les théories de la psychanalyse possèderaient des pouvoirs descriptifs, explicatifs et prédictifs qui leurs permettraient de jouer ce rôle ? Où sont les preuves ? Il n’y a jamais eu de preuves, il ne peut pas y en avoir, et, en l’état épistémologique où se trouve la psychanalyse encore aujourd’hui, il ne peut rigoureusement pas y avoir.
"Elle peut également servir de méthode d’analyse (...)".
Mais, où sont les preuves valides et corroborées par des tests que les théories de la psychanalyse possèderaient des pouvoirs descriptifs, explicatifs et prédictifs qui leurs permettraient de jouer ce rôle ? Où sont les preuves ? Où sont les preuves que la psychanalyse peut servir de méthode d’analyse efficace ? Il n’y a pas de preuves. Et, il ne peut pas y avoir.
Voilà à quoi Sigmund Freud, Jacques Lacan, et tous les autres psychanalystes, ont tourné résolument le dos, et tourne encore le dos :
@Yaduboulo
"Les prétendues" (...) supercheries de Freud ou de Lacan ? Mais soit vous êtes très mal informé, soit de mauvaise foi.
Je vous convie à lire Jacques Van Rillaer et des procédés lacaniens, ou encore une psychanalyste, qui fut la sténotypiste de Jacques Lacan lui-même : Maria Pierrakos.
Sur Freud, la littérature critique sur tous ses mensonges, escroquerie, sur les légendes freudiennes, les stratégies de désinformation, etc. ? abonde tellement que je n’ai pas ici la place pour les citer tous !
Je n’en citerais alors que quelques uns :
1. Jacques Bénesteau. "Mensonges freudiens. Histoire d’une désinformation séculaire". (Editions Mardaga).
2. Mikkel Borch-Jacobsen. "Anna O. Histoire d’une mystification centenaire".
3. Mikkel Borch-Jacobsen et Sonu Shamdasani. "Le dossier Freud. Enquête sur l’histoire de la psychanalyse".
4. Henri Ellenberger. "Histoire de la découverte de l’inconscient".
etc.
@Yaduboulo
Ce que je cherchais, moi, à vous dire, c’est non exprimer du ressentiment contre la psychanalyse, mais autre chose :
1. Cela fait maintenant plusieurs décennies, tout de même (...), que les spécialistes les plus sérieux et reconnus de l’épistémologie, comme Karl Popper, ont démontré, par "a + b", si je puis dire, que :
a. non seulement la psychanalyse, ne peut pas prétendre être "la psychanalyse" sans son postulat du déterminisme psychique inconscient, prima faciae absolu, parce qu’il exclut tout hasard et tout non-sens, ...
b. ... mais encore, et par voie de conséquence, que ce postulat rend les fondements de la psychanalyse, comme la théorie de l’inconscient et de refoulement inconscient, parfaitement irréfutables, c’est-à-dire non testables de manière valide.
c. .... Ce qui implique qu’il n’est absolument pas possible de prétendre qu’il y ait pu avoir de prétendues "recherches", comme vous dites, qui aient pu démontrer, avec des preuves valides, (extra-cliniques, etc., etc....) des liens de cause à effet entre l’action de refoulement inconsciente (telle qu’envisagée en psychanalyse, et seulement en psychanalyse), et l’une quelconque des névroses, ou des psychoses, telles qu’elles sont envisagées en psychanalyse, et seulement en psychanalyse.
d. ... donc, que ceux qui prétendent avoir réalisé des recherches dignes de ce nom, autrement dit, avoir corroboré des preuves des liens de cause à effet dont je parle précédemment, ont nécessairement dû être obligés de dénaturer complètement leur objet d’étude. C’est-à-dire que ce peut être, en aucun cas, (je souligne), une théorie de l’inconscient ou de refoulement inconscient, qui soit propre ou qui corresponde en tous points au postulat du déterminisme psychique inconscient et absolu, qui ait pu être testée, et donner lieu à l’édification d’une quelconque preuve sur les liens de cause à effet déjà évoqué plus avant.
e. Dans son livre "L’univers irrésolu. Plaidoyer pour l’indéterminisme", Karl Popper démontre avec des arguments logiques et épistémologiques imparables, (et que cela plaise ou non aux psychanalystes), que le "déterminisme scientifique" n’est pas testable. Attention, il faut bien lire Popper dans son livre, pour comprendre en quoi consiste le "déterminisme scientifique", évidemment, et ne pas faire comme certains, qui en disent n’importe quoi. Cela veut dire que le postulat déterministe, (beaucoup trop déterministe) de la psychanalyse, a fait d’elle, depuis les débuts, un projet scientifique qui ne pouvait qu’échouer avant même d’avoir pu commencer. L’on pourrait aussi faire cette démonstration en se fondant sur des arguments qui englobent et dont dépend l’épistémologie de Popper, je veux parler d’arguments relatifs à la philosophie de la connaissance.
f. En somme, la psychanalyse est depuis toujours totalement inséparable de son erreur princeps : son postulat beaucoup trop déterministes. Ce qui fait d’elle, comme l’ont souligné des philosophes tel que le marxiste Timpanaro, ou Claude Lévy_Strauss, soit une "pensée magique", soit un apriorisme absolu, dogmatique. Autrement dit tout l’opposé d’un projet authentiquement scientifique. Seulement dans les termes de Popper cela implique aussi que tout projet de description de quoique ce soit qui touche à l’humain et qui serait fondé sur la théorie de l’inconscient ou du refoulement inconscient de la psychanalyse, ne peut pas être doté de la moindre valeur descriptive qui soit validement prouvable.
Mais tous ces arguments pourtant incontestables et qui auraient dû signer l’arrêt de mort de la psychanalyse depuis longtemps, ont tous été balayés d’un revers de main par les psychanalystes et toujours avec les mêmes procédés :
1. Eluder ou ignorer ;
2. Désinformer ;
3. Pathologiser ou "psychiatriser" les arguments : dire que celui qui les formule présente un "conflit Oedipien", etc.,
4. Infantiliser celui qui les formule : ce qu’il dit ne doit pas être écouté sur un front rationnel, mais plutôt sur celui d’un problème personnel, etc., etc.,
5. Politiser, ou idéologiser les arguments : celui qui les formule, est soit un fasciste, soit un antisémite !
@Tuco
N’étant pour l’heure, démontrée, (ou même possiblement démontrable) en tant que doctrine dotée de théories proches de la Vérité, ou de théories fausses, Personne n’est épistémologiquement en droit de dire que sa croyance en la proximité à la Vérité de la psychanalyse, ou en sa réfutabilité, est fondée. Pourquoi ?
1. Parce que ce qui fonde une croyance, c’est soit la foi. Mais avoir la foi, c’est aimer sans preuve, et cela ne peut intéresser la science, mais l’esprit sectaire, ou les psychanalystes...
2. Parce qui a une chance de fonder une croyance scientifique, ce sont des mises à l’épreuve. Des "épreuves de vérité" qu’aurait passés une théorie avec succès. Mais il ne peut y avoir qu’une seule logique pour de telles épreuves de vérité, comme le démontre Karl Popper : ce sont des tentatives de réfutations à trois niveaux chronologiques et tous nécessaires mais non suffisants :
a. La réfutabilité logique.
b. La réfutabilité empirique.
c. La réfutabilité méthodologique.
Voir ici :
https://antipsyk.blogspot.com/2018/06/la-refutabilite-scientifique.html
3. Donc, n’étant fondée, et ne pouvant même être fondée sur aucun tests valide et scientifique, selon des procédures, des tentatives de réfutation scientifiques valides, la psychanalyse doit être déclarée de "sans fondement" : personne n’est réellement fondé à croire, soit en sa fausseté, soit en sa proximité à la vérité (corroboration).
4. Conclusion : Mikkel Borch-Jacobsen : "La psychoanalyse n’est qu’une théorie zéro". Ne pouvant être autre chose qu’une théorie zéro, elle ne peut pas être non plus autre chose qu’une pratique zéro.
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