Qui parle dans ce texte ? l’auteur ou l’avocate ? il y a un jeu des guillemets qui laisse planer un gros doute. Quand l’auteur dit : Paradoxalement, elle rejoint la mère de la victime dans ses reproches envers la police, sans guillemets, c’est sa propre parole et son association d’idée (infecte) qu’il assène.
L’auteur se fait ici l’avocat de l’avocate et répercute son scandaleux message sans aucun recul et sans relativiser. Sa conclusion est éloquente : là, l’auteur se scandalise enfin ! mais... à l’égard de "l’opprobre" que risquerait de subir l’avocate... voire de la mort !!!