Le pire.
Oh ! Non d’une pipe !
Ca y est ! Marine Le Pen Fait des convertis. Elle a réussi à séduire des
esprits simples avec des arguments pourtant pas trop futés.
On a beau entendre la voix de la
sagesse d’un Badinter, on ne l’entend pas au sens de comprendre et c’est bien
là ce qui est effrayant.
C’est donc plus par bêtise,
simplisme et ignorance que des gens votent pour le pire. La démocratie se perd comme ça,
on retourne aux vomissures d’une politique extrémiste.
Ce n’est pas la vague bleue
Marine mais la blague noire sous Marine : ne pas confondre !
Ils n’entendent pas ceux qui ont
déjà vécu le tragique de l’histoire, ceux qui sont nés dans le confort, la
consommation et les distractions d’un goût souvent douteux.
Quand on entend des arguments
comme ça pour la Marine, on se demande si la décadence d’une démocratie n’est
pas une fatalité, c’est affligeant.
Et Badinter a raison de fustiger
les socialistes qui ont laissé leur responsabilité, qui, encore une fois ne
sont pas pour rien dans ce désordre des valeurs.
Voter Marine, c’est s’inoculer le
cancer pour soigner une grippe.