"La crise n’est pas une crise financière. C’est une crise énergétique (peak oil)"
Phénoménale, en plein règne des TBTF, des délocalisations, des manip’ des cours des métaux via le papier, des paradis fiscaux,...
C’est un peu comme reprendre l’arnaque de la crise pétrolière de 74 où jamais il n’y a pas eu le risque de manquer de pétrole mais une convergence d’intérêts pour laisser flamber les prix tout en renversant les pouvoirs à la chaîne en Iran.
En bref, on crée son propre malheur en n’acceptant pas les vertus de l’économie productive. C’est ce qu’on très bon compris les impérialistes. Pas les clampins.