Je constate avec bonheur une évolution dans la dialectique sioniste (en France du moins).
J’en étais resté à "antisémite", mais il faut croire que l’anathème a perdu de sa force, qu’il s’est usé pour avoir été surexploité, rarement à bon escient...
Le mal-pensant n’est donc plus un retors antisémite, mais un "taré qui éjacule sa haine" (y prend-il du plaisir ?) ou qui l’urine... Quand on a dépassé le point goldwin depuis des lustres, ne restent comme arguments que caca pipi popo...Quel régal ;) une autodestruction....