Ce n’est qu’un début et c’est amené à évoluer. Néanmoins le vrai défi c’est de rapporter sur la terre ferme quelques chose qui provient d’une orbite basse (au moins), avec une entrée atmosphérique à plusieurs dizaines de kilomètres par seconde et les contraintes thermiques qui vont avec.
Pour l’instant on est loin de l’exploit et les mecs de l’ESA ou de la NASA doivent sourire.