@berphi
Peut être n’avez vous pas compris parce que je me suis mal exprimé, j’aurais dû écrire : d’ici 50 ans sur la base d’une consommation moyenne correspondant à la moitié de ce que l’on consomme actuellement ( réduction supérieure à ce que prédisent les organisations citées), nous auront brûlés l’équivalent, en quantité, de la moitié de nos réserves (sans les produire), uniquement pour assurer le transport depuis le lieu de production jusqu’à nos frontières, des hydrocarbures dont on a besoin. Evidemment ce CO2 produit ne comptera pas dans la contribution française à la COP21 puisqu’il s’agit de transport international.