On peut se perdre dans une forêt....
Voyons voyons...J’aime assez l’idée de contemplation dont parle Tchak tachak...
L’inconnu, n’est ce pas simplement le mystère de la création et celui de la mort ?
Que l’humain ne peut s’emp^cher de vouloir comprendre ?
Et pourtant
Tout est devant lui à chaque instant...
la nature nous prodigue sans cesses le tableau de la vie et de la mort dans son éternel recommencement, et devant le vivant phénomène de cette nature qui nous procure parfois une joie qui gonfle les voiles vers les plus audacieuses contrées, devant la beauté indicible que seul le poète peut rendre, nous devons abdiquer , parce que nous sommes des spectateurs impuissants, parce que alors il nous faut bien comprendre qu à ce festin donné nous ne faisons que prendre part : Nous nous y invitons, mais nous y sommes étrangers .
Mais qu’importe, l’humain est à la fois Prométhée et son frère Epiméthée, celui qui défie les Dieux , qui avance dans l’action et le feu , et l’autre que la nostalgie envoie dans son monde intérieur.
Il doit faire son expérience, celle de sa vie sur terre, et aimer le vivant et la nature, la Beauté, l’Art et la culture
Ange déchu, il a pour compagnons les chérubins et les fidèles démons, Ainsi le beau devient le laid, le laid est rangé au rang du beau, quelle aventure !!!vive l’égo !!!