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Les commentaires de Serge ULESKI



  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 29 juin 2016 20:07

    @cathy

    Non,pas quel mépris mais bien plutôt, quelle lucidité...



  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 25 juin 2016 05:58

    @Kevin92

    Merci pour ce rappel des faits.



  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 24 mai 2016 21:18

    @Serge ULESKI

    Pour poursuivre à son propos... bien que le sujet de mon billet ne soit pas "Stiegler"...

    ***

    Stiegler nous demande de nous préparer à la disparition de millions d’emplois ; son reproche majeur est destiné à notre refus de nous y préparer, non pas à nous y opposant mais en accompagnant cette destruction massive.

    Avec ce "syndrome d’accompagnement", surprenant que Stiegler n’ait pas eu à un moment ou un autre, sa carte au PS : cette fausse gauche... qui n’a de cesse d’accompagner la droite justement !

    L’accompagnement, encore et toujours !

    De plus, au court de sa carrière, je ne suis pas sûr que Stiegler n’ait pas contribué même modestement, à la destruction d’un certain nombre d’emplois. Il est bien trop proche des "techniques nouvelles" et de l’innovation numérique pour ne pas s’être laissé au fil des ans "bouffer" par leur pouvoir de dé-conscientisation gigantesque, pareil au pouvoir de l’argent sur ceux qui n’en ont jamais eu ou la soif de reconnaissance : hypnotique et corrupteur ce pouvoir !

    De plus, Stiegler est un auto-didacte... et s’il n’y a pas plus reconnaissant envers "le système" qu’un arriviste parti de rien, l’auto-didacte est toujours en quête de légitimité : que ne ferait pas un autodidacte pour se voir décerner "L’ordre des Palmes académiques" qui lui manquent car enfin est-ce que les Américains et les Allemands (Google, Microsoft, Facebook et la puissance industrielle allemande) ont besoin d’un Stiegler ? En toute lucidité, on peut sans hésiter répondre par la négative.

    De plus, les références de Stiegler ont souvent pour origine le monde anglo-saxon ; les USA en particulier

    Pour faire court, je n’ai qu’une demi-confiance en l’intégrité de cet homme. Et puis, ce qu’on pouvait reprocher à Cassandre finalement c’est de prédire le malheur sans pour autant être capable de le prévenir.

    Prédire et prévenir : là, c’est quand même pas le même talent, voire... le même génie qui est alors requis : talent et génie politique s’entend. Et là on retrouve PF Garaud issue d’une tradition politique qui a su quoi que l’on puisse dire, accoucher d’hommes politiques d’exception.



  • 1 vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 24 mai 2016 20:29

    @Daedelus

    A propos de Stiegler, mon seul reproche : "Quant à Bernard Stiegler, fidèle à lui -même, il évoquera une innovation technique tueuse d’emplois par millions comme une fatalité ; lui aussi a manifestement intégré, inconsciemment sans doute, la mort de la politique : ce qui est techniquement possible n’est pas nécessairement souhaitable car enfin, ce n’est pas à la technique de décider dans quel monde nous souhaitons et devons vivre mais bien plutôt, à la politique et au politique."



  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 24 mai 2016 14:07

    @simpesanstete

    Weber... je n’ai même pas voulu mentionner son nom tellement c’est couru d’avance...



  • 3 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 23 mai 2016 20:47

    @Socarate

    Votre réaction n’est pas sans justification car on a cru longtemps que l’Etat était le problème. Le jour où il n’y en plus, on réalise qu’avec son affaiblissement et sa soumission à des intérêts privés que c’est la nation ( nation au sens de peuple constitué) qui est mise en danger et en particulier, sa frange la plus faible car la plus exposée...

    A chaque fois que l’on a remis en cause l’Etat contemporain, c’est la nation qu e l’on a mis en danger ; il n’y a pas de nation sans Etat et pas de démocratie sans nation : d’où la dictature d’une construction européenne sans Etat ni nation, et par voie de conséquence... sans démocratie digne de ce nom, entièrement vouée à des intérêts privés.

    L’Etat c’est l’expression de la volonté populaire ; c’est le bras armé de la protection de l’intérêt général ; ce qui n’exclue pas le rapport de force avec ceux qui veulent faire de cet Etat l’instrument d’intérêts privés. Et si ces intérêts ont voulu s’en débarrasser dans les années 80 (friedman-thatcher-reagan) c’est pour la raison suivante : l’Etat représente un frein à la libre défense de ces intérêts privés.

    Le jour où l’Etat et la nation, tels que j’ai pu les définir, représenteront un véritable danger pour la justice, l’égalité et la liberté, il sera toujours temps de s’en débarrasser. Or, aujourd’hui, c’est bien la dernière chose à faire.

    Pour l’heure, il faut simplement tenter d’y mettre à la tête de cet Etat... des hommes et des femmes......................... d’Etat. Et c’est bien là le sens de l’intervention de MF Garaud.



  • 6 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 20 mai 2016 20:17

    Manifestations après manifestations, violences, grèves... l’Elysée et Matignon jouent le pourrissement, sans l’ombre d’un doute, d’autant plus que... Hollande a très certainement fait une croix sur la gauche quant à sa ré-élection ; reste alors à s’adresser à l’électorat du centre gauche et de la droite ; les classes moyennes qui s’accommodent mal, à la longue, de la chienlit - bruit, casse et grèves ; le temps joue donc en faveur du gouvernement et de l’Elysée ; d’où le refus de Hollande de retirer la loi El Khomri.

    Reste à espérer que l’amertume accumulée par ceux qui se sont "investis" dans cette lutte ne conduise pas à des actes d’une gravité irréversible : la jeunesse est fragile ; elle peut très mal vivre un échec, oublieuse du fait qu’une défaite n’est pas une capitulation.



  • 3 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 19 mai 2016 16:44


    Qui se souvient que « La directive européenne sur le secret des affaires » a été adoptée à une très large majorité (77 %) par le Parlement européen en avril 2016 ?

    Pour se faire une idée plus précise des conséquences de la directive, il faudra donc attendre deux ans, le temps qu’elle soit retranscrite par les vingt-huit Etats membres européens dans leur droit national. Puis que les premiers procès fondés sur cette nouvelle législation soient organisés, pour que les juges puissent établir une jurisprudence plus claire et, au choix, lever les doutes ou confirmer les craintes des critiques.

    A l’aune de ce vote et de ses conséquences sur l’information, qui serait assez fou pour confier la liberté, la vérité des faits sur un sujet quel qu’il soit et la justice (des conditions de vie et de traitement) à un député, et qui plus est à une Assemblée quand on connaît l’histoire parlementaire de la France (entre autres pays !) de la 3e République à nos jours.

    Personne.

    _______


    Sinon...

    Optimiste Lucet quand on sait que…

    La moralisation des affaires n’aura pas lieu, aujourd’hui et demain, encore moins qu’hier, à l’heure d’un mondialisme qui n’est qu’une guerre contre le pacte social européen (Etat providence, droit du travail et liberté d’expression et d’investigation). Aussi, lorsque Lucet ne voit pas que les journalistes d’investigation sont en danger « de mort », sans doute pense-t-elle à l’esplanade Henri de France, à Paris… là où se trouve le siège de France-Télévisions, bel édifice architectural, rassurant et cossu.

    A propos de cette autre question qui touche à l’instrumentalisation des journalistes, à savoir : quelles informations sont "mises à la disposition" des journalistes d’investigation et des lanceurs d’alerte - à titre d’exemple, se reporter à HSBC et la CIA ? Par qui sont-elles rendues disponibles pour divulgation ? A quelles fins ? Là encore, Lucet ne semble pas avoir conscience de la pertinence de ces trois questions.

    Quant à son refus de voyager en Mauritanie et au Maroc, Lucet omet de préciser pourquoi elle refuse à l’avenir de s’y rendre : l’Etat français ne cherchera jamais à savoir qu’elles auraient pu être les commanditaires d’un « préjudice extrême » contre sa personne ; raison d’état oblige ! Etat d’urgence aussi… coopération judiciaire à propos des jihadistes qui vont et viennent entre le Maroc (lieu de départ ou de transit) et l’Europe.

    Sur le 11-septembre, rappelons que la question n’est pas de savoir si ce sujet est tabou chez Lucet mais bien plutôt dans le groupe France-télévisions.

    Et puis... rien sur : comment Lucet choisit ses sujets d’investigation.

    Rien sur l’audience de son émission : "cash investigation". Rien sur les objectifs d’audience qui ont pu lui être fixés.



  • 3 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 22 avril 2016 15:45

    Lordon... CQFD : ce qu’il fallait dire !

    _________________

    Pas de "Nuit debout" pour Alain Finkielkraut, l’essayiste d’extrême droite

     

     Alain Finkielkraut et son épouse expulsés de la place de la République par des membres du collectif "Nuit debout".

     

      Après cette expulsion de l’essayiste, tous les espoirs sont donc permis à propos du mouvement "Nuit debout" : ce mouvement semble bel et bien capable d’identifier ses ennemis en la personne, entre autres, d’un Alain Finkiekraut qui n’en a décidément jamais assez ; non content de se produire semaine après semaine dans tous les médias - presse, radios, télés -, l’essayiste vient provoquer la gauche et pense pouvoir le faire en toute impunité.

      On ne manquera pas de noter dans le commentaire de l’intéressé, à propos de son expulsion, l’emploi de l’expression "purifier la place de la république de ma présence"  ; et Madame Finkielkraut qui ne voulait manifestement pas être en reste, en fidèle lieutenant de son capitaine de mari, de surenchérir avec son choix du mot "lynchage".

    Mais alors... qu’est-ce à dire ? Ce soir-là, avec tout ce chahut autour de la venue de l’essayiste, on serait donc passés pas loin d’un pogrom ?

    Tenez ! Pire encore : a-t-il été question d’une tentative d’extermination du couple "Finkielkraut" ?

      Chassez le naturel, il revient au galop ! Pourris, gâtés, Finkielkraut et ses acolytes s’autorisent tout et ne perdent jamais tout à fait le Nord même et surtout lorsqu’ils semblent s’être égarés. Bien au contraire. Chez ces individus, le chantage à l’anti-sémitisme reste non plus le dernier recours, recours ultime, mais bel et bien le premier, comme un reflex, en cas de difficulté et de contestation.

     "Ils ont purifié la place de la République de ma présence"...

      Doit-on alors conclure que c’est le Juif Finkiekraut qui s’est rendu sur cette place ce soir-là et non l’essayiste médiatique classé à l’extrême droite venu provoquer la gauche, une nouvelle gauche qui plus est, une gauche encore en gestation ?

      Que Finkielkraut ne se fasse aucune illusion : tout un chacun aura compris que c’est bien à cette pensée d’extrême droite raciste et anti-humaniste qui n’ose rien assumer en ce qui le concerne, auquelle il a été demandé de quitter les lieux.



  • 4 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 17 avril 2016 20:19
    Pas de "Nuit debout" pour Alain Finkielkraut, l’essayiste d’extrême droite

     

     Alain Finkielkraut et son épouse ont été expulsés de la place de la République par des membres du collectif "Nuit debout".

     

      Après cette expulsion de l’essayiste, tous les espoirs sont donc permis à propos du mouvement "Nuit debout" : ce mouvement semble bel et bien capable d’identifier ses ennemis en la personne, entre autres, d’un Alain Finkiekraut qui n’en a décidément jamais assez ; non content de se produire semaine après semaine dans tous les médias - presse, radios, télés -, l’essayiste vient provoquer la gauche et pense pouvoir le faire en toute impunité.

      On ne manquera pas de noter dans le commentaire de l’intéressé à propos de son expulsion, l’emploi de l’expression "purifier la place de la république de ma présence" ; Madame Finkielkraut qui ne voulait manifestement pas être en reste, en fidèle lieutenant de son capitaine de mari, de surenchérir avec l’emploi du mot "lynchage".

    Mais alors... qu’est-ce à dire ? Ce soir-là, avec tout ce chahut autour de la venue de l’essayiste, on n’était donc passé pas loin du pogrom ? Pire encore... s’est-il agi d’une tentative d’extermination du couple "Finkielkraut" ? Sho... sho... shoah.................. ça y est, le mot est lâché ! S’est-il agi d’une tentative d’holocauste sur la personne de Finkielkraut ?

     

      Chassez le naturel, il revient au galop ! Finkielkraut et ses acolytes s’autorisent tout et ne perdent jamais tout à fait le Nord même et surtout lorsqu’ils semblent s’être égarés. Bien au contraire. Chez ces individus, le chantage à l’anti-sémitisme reste non plus le dernier recours, recours ultime, mais bel et bien le premier, comme un reflex, en cas de difficulté et de contestation.

    Doit-on alors conclure que c’est le Juif Finkiekraut qui s’est rendu sur la place de la place de la République ce soir-là et non l’essayiste médiatique classé à l’extrême droite venu provoquer la gauche, une nouvelle gauche qui plus est, une gauche encore en gestation ?



  • 4 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 31 mars 2016 20:53

    Coffe a commencé dans le bio et a fini chez leader price... sur le dos de tous ceux qui ont cru que cet homme-là défendait quelque chose. Il n’a défendu que son train de vie.
    Car les faits sont malheureusement têtus : il a bel et bien fini chez leader price, campagnes publicitaires à l’appui, monnaie sonnante et trébuchante.



  • 7 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 30 mars 2016 22:16

    Il faudra bien un jour que l’on nous « raconte » Robert Faurisson !

    Mais... que l’on ne s’y trompe pas : raconter Robert Faurisson ce n’est pas nous parler de Faurisson mais de tous ceux qui ont fait de sa vie un chemin de croix et un enfer : prévaricateurs communautaires et associatifs, avocats, plaignants, parties civiles, juges, procureurs, patrons de presse, classe politique…  et puis, ceux qui l’ont laissé pour mort, un jour, dans un jardin public alors qu’il y promenait son chien ; c’était en novembre 1989 ; il avait près de 70 ans.

      Dates, noms, faits et gestes, ce qui aura été dit et écrit par les uns et par les autres… quand le jour viendra de nous conter Faurisson, c’est de l’histoire qu’il faudra faire, encore et toujours l’histoire... toute l’histoire.

    Mais… qui s’en chargera ? Ou bien plutôt, qui osera s’en charger car, on ne peut guère ne pas pressentir ce qui suit : il y a de fortes chances que personne n’en sorte… comment dire… grandi de et dans cette histoire ?



  • 9 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 29 mars 2016 21:06

    Faible du côté du concept, plutôt réticent à traiter les causes, guère courageux lorsqu’il s’agit de nommer les gens, reste alors pour Edwy Plenel à endosser un rôle, le seul rôle à sa portée : le beau rôle. En cela, Edwy Plenel rejoint Bernard-Henri Lévy qui a longtemps tenu ce rôle dans les médias jusqu’à "l’affaire de la Libye" qui nous a montré un individu irresponsable, entièrement occupé à servir les intérêts de deux puissances étrangères : Israël et les USA.



  • 3 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 24 mars 2016 22:10

    Onfray, le roi du bénévolat avec retransmission de son "université populaire" (anciennement : université du 3è âge dans les années 70) 10 années durant sur France Culture  !

    L’équivalent d’un plan média et com de plusieurs millions d’euros.
    Et c’est pas rien quand on ne vit que de sa plume !
    Aucun éditeur n’aurait pu lui payer une telle promo sur une telle période...

    Onfray, tartuffe va !



  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 2 décembre 2015 22:20

    Merci pour ce partage.

    _____________

    Le 02 décembre 2015 à 21h28

    Attentats parisiens : Marc-Edouard Nabe nous revient...

      ... et c’est alors que Daesh prend en otage notre mauvaise conscience, jusqu’à l’éclairer : "Mais... qui et que sommes-nous devenus que diable  ?"

      Art de vivre sans art de mourir ? Sinon bêtement à une terrasse de café ou bien, à l’occasion d’un concert de rock ?

     Avec quelques autres, trop peu nombreux, sans doute Nabe est-il le seul à pouvoir poser les questions qui fâcheront vraiment à propos des tueries du 13 novembre 2015.

    En attendant la lecture des événements par, entre autres, un Alain Soral, Nabe reste fidèle à sa réputation car, si d’aucuns se demandent encore à quoi sert la liberté d’expression, avec Nabe ils sont servis : Nabe c’est tout ce à quoi tous ces trous de balles n’auraient jamais pu ni jamais osé penser, faute de talent, de maturité, de flair, de conscience et de courage.



  • 6 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 28 novembre 2015 13:33

    Si l’enquête de ces deux journalistes a le mérite d’expliquer la géopolitique et les enjeux économiques qui ont guidé la création et le développement de Daech - informations, soit dit en passant, que l’on peut trouver sur Internet depuis des années ! Faut croire alors que les auditeurs de France Inter ne sont pas pressés et sa rédaction non plus
     , à la question "Comment la diplomatie française a t-elle pu se tromper dans ses analyses", ces mêmes journalistes se gardent bien de pointer le fait suivant : la diplomatie française ne s’est pas trompée ; il se trouve simplement que le quai d’Orsay est entre les mains d’un Etat PS totalement voué aux intérêts israéliens là-bas et ici sur notre sol, et par voie de conséquence, cet Etat PS est très proches des intérêts américains lorsque ces derniers rejoignent ceux d’Israël, ce qui est souvent le cas mais pas toujours... comme on a pu le voir à propos de l’Iran : la position de la France était celle d’Israël et non celle des USA.

    A la tête de l’Etat et de la diplomatie française (Elysée, Matignon et Quai d’Orsay), siège bel et bien un PS atlantiste et sioniste, et ce en violation totale de notre tradition diplomatique d’indépendance et d’équilibre entre des idéologies et des intérêts antagonistes.

    Au cours de ce reportage, comme un fait exprès, si le nom de Fabius est prononcé, à aucun moment Israël n’est mentionné.

     

     Allez, France Inter ! Encore un effort ! T’y es presque !



  • 2 votes
    Serge ULESKI Serge ULESKI 23 novembre 2015 21:14

      Après Houellebecq (ICI) et quelques autres parmi l’establishment, trop peu nombreux, et alors que partout ailleurs l’opposition fait rage, Michel Onfray se joint à ceux qui refusent cette guerre contre le terrorisme déclarée par un gouvernement et une Présidence aux abois. Un (P)président qui court après son fonction depuis son élection, une fonction dont les habits se sont très vite avérés trop grands, bien trop grands pour lui, et un premier ministre dont l’assurance, voire l’arrogance, a tous les attributs d’une bêtise crasse qui représente aujourd’hui un véritable danger pour la démocratie, la paix et la concorde intérieures, et ce... sur tous les fronts : social, politique et culturel.

    Sermonneur comme il n’est pas permis, on peut légitimement douter des capacités de jugement, de discernement et de sang froid dans les situations qui l’exigent, de ce premier ministre bouffi d’ambition, qui n’a manifestement aucune idée des conditions à réunir pour que la société française puisse retrouver un peu de sérénité sur une nouvelle base : l’inclusion de tous dans le processus de socialisation fraternelle et égalitaire.

    Les médias dominants ne sont pas les derniers à contribuer au lynchage de Michel Onfray ; en priorité la presse et les médias qui soutiennent l’Etat PS : Nouvelobs, Libé, BFMTV, Le Huffington Post et des "journalistes vedettes" chroniqueurs et interviewers du public comme du privé.

      Aussi pour toutes ces raisons, on ne peut que soutenir Michel Onfray et le faire savoir partout où c’est nécessaire.

    ______________

    Pour prolonger, cliquez : de quoi Daech est-il le nom ?



  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 23 novembre 2015 13:50

    Merci à TVnetcitoyenne pour ce partage



  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 23 novembre 2015 13:44

    Les démocraties ne seraient donc efficaces dans leur lutte contre le terrorisme que sous un régime d’exception ?

    La diplomatie de l’Europe étant arrimée aux intérêts saoudiens, américains et israéliens depuis une quinzaine d’années, le pire est donc à craindre. Est-ce à dire que l’Europe nous prépare un état d’urgence perpétuel ?

    Ce qu’on appelle le mondialisme (ou "la mondialisation") dont l’U.E est un des instruments, serait-il alors consubstantiel à un régime d’exception qu’est l’état d’urgence ?

    Le mondialisme et le terrorisme, arme de contrôle massif des populations confrontées à un mondialisme qui n’est qu’une guerre contre les Etats nations, l’Etat providence, les salariés, la liberté d’expression et par voie de conséquence, une guerre contre la démocratie, avec l’Europe comme cible privilégiée, seraient donc à terme indissociables ?

     

     Toutes ces questions ne devraient-elles pas nous alerter ?

    _______________

     

    Pour prolonger, cliquez : Pourquoi je meurs



  • vote
    Serge ULESKI Serge ULESKI 8 novembre 2015 20:35

    @Aguirre18

    Merci pour tes encouragements

    Cdlt