Rencontre avec René Vautier / CINEMAGHREB à Brest
« essayer de prévoir … que l’image ne reste pas la propriété des gouvernants » …
Deux courts extraits d’une chaleureuse conversation entre le cinéaste René Vautier et les spectateurs.
L’importance de l’image et du son….des mots qui font réflexion, l’actualité en témoigne, pour le reste il suffit d’y passer quelques minutes …
1 ére Partie : Un très court résumé de son parcourt, de la résistance à 16 ans au cinéma reportage.
2 éme Partie : René expose son point de vue, et insiste sur l’importance de l’image et du son, « essayer de prévoir … que l’image ne reste pas la propriété des gouvernants » … , …
A propos du film Afrique 50.
Depuis Wikipédia.
En 1950, il réalise son premier film, Afrique 50, qui était une simple commande de la Ligue de l’enseignement destinée à mettre en valeur la mission éducative de la France dans ses colonies. Sur place, il décide de témoigner d’une réalité non commandée, le film sera interdit pendant plus de quarante ans.
Ce sera le premier film anticolonialiste français, chef-d’œuvre du cinéma engagé, qui lui vaudra 13 inculpations et une condamnation de prison, son co-inculpé est Félix Houphouët-Boigny. Il s’agit une condamnation en violation du décret Pierre Laval (Ministre des colonies) de 1934 et Vautier est mis en prison militaire à Saint-Maixent, puis à Niederlahnstein en zone française d’occupation en Allemagne. Il sort en juin 1952.
Afrique 50 reçoit la médaille d’or au festival de Varsovie.
Avec la participation de la Cinémathèque de Bretagne
Tags : Cinéma
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