Peut être que, comme des milliers de grançais, vous avez reçu l’an dernier un message sur votre messagerie vous annonçant que « pour une fois », l’Union Européenne vous demandait votre avis et lançait une consultation intitulée : « De l’agriculteur au consommateur, quelle politique agricole et alimentaire commune ? ».
Près de 40 000 citoyens français concernés par la condition paysanne, la santé des sols et leur propre santé ont alors répondu, mais bien peu de gens savent ce qu’était réellement ce questionnaire, et surtout ce à quoi il a abouti.
Un citoyen français, Jean-Bernard Simian, ne s’est alors pas contenté de considérer superficiellement ce document et d’y répondre en choisissant naïvement de croire que l’UE s’intéressait en vérité au point de vue des citoyens des pays enchaînés dans cette construction politique.
Outré par la formulation même du questionnaire, il a choisit d’approfondir le sujet, et son acharnement citoyen exemplaire a révélé la place faite aux citoyens au sein de l’Union Européenne, dans la prise de décisions impliquant l’avenir de nos sociétés et du Vivant.
Cette affaire édifiante n’a malheureusement pas eu la couverture médiatique qu’elle mérite (elle fut publiée brièvement sur Agoravox) ; l’Agora du Parlement de l’UE continue à gaspiller l’argent de nos populations soumises à l’austérité, et ce afin de parer la dictature européiste d’un faux nez de démocratie participative.
C’est la raison pour laquelle, le Cercle des Volontaire à été interroger Jean Bernard Simian, afin qu’il nous présente ce que sa veille de conscience a permit de dévoiler au sujet de la place laissée aux citoyens des pays d’Europe dans la prise de décision politique.
Afin de bien comprendre ce que cette affaire révèle, il est indispensable, en plus de l’entretien de Jean-Bernard Simian, de prendre connaissance des documents suivants :
Advertance.eu
European Parliament / Agora
Agoravox.fr