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Accueil du site > Actualités > Economie > Comment l’État obèse a eu raison de la croissance de la France

Comment l’État obèse a eu raison de la croissance de la France

Zéro pointé pour la croissance du PIB.

La hausse insupportables des prélèvements obligatoires entame toujours plus le pouvoir d’achat des Français.
Ces spoliations mettent en berne la consommation des ménages pendant que le chômage ne fait qu’augmenter.
Un État qui est obligé de se perfuser 57% du PIB de ses concitoyens pour survivre est un État malade :
 




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17 réactions à cet article    


  • 12 votes
    soulmanfred 27 août 2012 10:34

    Erwanet préfère les multinationales obèses .


    • 2 votes
      TZ TZ 27 août 2012 23:03

      Erwanet a surtout 50 ans de retard quant à ses critiques.
      .
      A la fin de la seconde guerre mondiale, ç’aurait été le premier à remettre en cause les décisions du CNR.


    • 15 votes
      Yoann Yoann 27 août 2012 11:05

      Non mais sérieux faut arrêter Erwanet, quelquechose me dit que vous ne tournez pas qu’au cidre .... Ou la propagande néo-libéral a eu raison de votre bon sens ... Au choix ....


      • 6 votes
        sergel sergel 27 août 2012 11:10

        Budget de l’état France (2012) : 366 milliards €

        PIB France : 2000 milliards €

        La France ( politiques publiques ), c’ est 18,3% du PIB.


        Rappel, le partage de la valeur ajoutée entre le travail et le capital, a perdu en 30 ans 15 points de PIB, soit 300 milliards € annuel ou 10 millions d’ emploi.


        En 2012, la France est en stagflation ( récession & inflation ).


        • 2 votes
          Erwanet Erwanet 27 août 2012 12:43

          Tiens, pour te remettre un peu les idées claires :

           
          http://www.chiffrages-dechiffrages2012.fr/reperes/les-ordres-de-grandeur-des-finances-publiques.
           
          2010, mais bien sûr ça a augmenté depuis, je te laisse chercher les chiffres 2011 :
           

          Quatre grandeurs permettent de caractériser les finances publiques :Les recettes publiques :

          Les recettes de l’ensemble des administrations publiques représentaient 958 milliards d’euros en 2010.

          Les dépenses publiques :

          Les dépenses de l’ensemble des administrations représentaient 1095 milliards d’euros en 2010.

          Le solde exprime la différence entre les recettes et les dépenses. Un solde négatif correspond à des dépenses supérieures aux recettes, c’est-à-dire à un déficit.

          Le déficit public au sens de Maastricht s’élevait à -137 milliards d’euros en 2010.

          La dette correspond à la somme des déficits passés auquel s’ajoute le déficit actuel.

          La dette publique au sens de Maastricht s’élevait à 1 591 milliards d’euros fin 2010.

          Les ordres de grandeurs rapportés à la richesse nationale

           

          On exprime souvent ces grandeurs en les rapportant au produit intérieur brut.

          • Le montant du PIB est de 1 933 Mds€ en 2010. Un « point de PIB » ou 1% du PIB équivaut à 19 Mds€ en 2010 soit près du tiers du budget annuel consacré à l’enseignement scolaire ou près de la moitié du budget annuel consacré à la défense.

          • Les dépenses publiques représentent 56,6% du PIB en 2010.

          Le déficit représente -7,1 % du PIB en 2010 et la prévision pour 2011 est de -5,7%.

          La dette publique s’élève à 82,1 % du PIB en 2010. On peut aussi rapporter ces montants au nombre d’habitant : la dette représente ainsi un passif de 25 200 € de dette par habitant. Toutefois, les administrations ont également un actif, même s’il n’est pas toujours valorisable comme les monuments nationaux. Cet actif est estimé à 891 Mds en 2010 dont 757 Mds d’actifs immobilisés selon le Bilan de l’Etat en comptabilité patrimoniale.


        • 3 votes
          sergel sergel 27 août 2012 13:25

          Ne pas confondre CA (Chiffre d’ affaires) et VA (Valeur ajoutée).

          Le PIB est la VA de la France, vous comparez des chiffres complètements anachroniques.

          En Juin 2012, la dette est égale à 90 % du PIB, soit 1800 milliards €.

          Vous confondez les dépenses publiques et le budget de l’ État.

          « Un État qui est obligé de se perfuser 57% du PIB de ses concitoyens pour survivre... »

          sinon reformulez votre article !

          La perfusion monétaire d’ un État est le montant nécessaire à son fonctionnement & non le total des sommes allouées à la dépenses publiques des Français !


        • 2 votes
          Erwanet Erwanet 27 août 2012 13:34

          Allons... voyons voyons.. l’Etat a besoin de se perfuser 57% du PIB pour ses besoins.. ne confondez pas tout et n’essayez pas de noyer le poisson..il n’y a pas à formuler autrement.
          ¨
          http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9penses_publiques


        • 2 votes
          BlackMatter 28 août 2012 14:08

          Néanmoins, un chiffre balancé comme ça ne veut rien dire.

          Il faut le comparer par rapport à un périmètre.
          Dans un état où toutes les routes seraient privées, la part des dépenses publiques baisseraient mécaniquement. Pour autant, est ce que cela serait profitable à la population ? Si c’est pour payer en péage ce qu’il payait en impôts, je ne suis pas sûr.


        • 6 votes
          soulmanfred 27 août 2012 13:00

          L’Institut Montaigne est un think-tank (réservoir d’idées) français basé à Paris. Créé en 2000 par Claude Bébéar, président d’honneur du groupe AXA, il regroupe des cadres d’entreprises, des hauts-fonctionnaires, des universitaires et des représentants de la société civile. Il veut apporter son expertise sur les enjeux de long terme (principalement en matière de politiques publiques)1 auxquels la France et l’Europe sont confrontées. L’Institut est financé par des entreprises .Souvent classé comme libéral, l’Institut a pris néanmoins des positions fermes en matière de régulation financière à la suite de la crise financière de 2008.


          Des sources toujours aussi objectives et neutres erwanet smiley


          • 2 votes
            gazatouslesetages 27 août 2012 19:26

            57 % du PIB gérés par le public, et il y en a encore qui croient que nous sommes dans un pays libéral. arf.
            .
            sinon c’est plutôt une bonne nouvelle pour ceux qui détestent les employeurs (ceux qui emploient), ils sont de moins en moins nombreux ! smiley
            .
            encore merci erwanet


            • 2 votes
              Erwanet Erwanet 27 août 2012 19:51

              Oui, c’est une très bonne nouvelle pour ceux qui détestent ces enfoirés de patrons : au moins quand tu es au chômage, tu es tranquille, tu ne te fais pas exploiter par un salaud de patron.


            • 2 votes
              Erwanet Erwanet 27 août 2012 19:53

              Les chômeurs pourront enfin se payer leurs z’acquis sociaux entre eux smiley


            • 2 votes
              kemilein kemilein 28 août 2012 01:59

              si seulement erwanet tu avais lu un livre sorti il y a pourtant un demi siècle et qui se nomme la Grande Relève. on t’y expliquerait comment des "chômeurs" peuvent se payer des tas de trucs sans rien branler... seulement tu es trop idiot et abruti et stupide (<pas des insultes, allez lire leur définition)


            • 1 vote
              libriste libriste 28 août 2012 11:26

              Ne vous est-il jamais arrivé de remettre en cause la notion même de PIB, de croissance ?


              • 1 vote
                kemilein kemilein 28 août 2012 11:38

                je voulais le lui écrire, mais nous parlons du simplet simpliste erwanet, il semble être imperméable au bon sens et a la raison, c’est un doctrinaire imbécile.


              • 1 vote
                gazatouslesetages 28 août 2012 18:34

                Ne vous est-il jamais arrivé de remettre en cause la notion même de PIB, de croissance ?
                .
                Le PIB est peut-être un indicateur imparfait, mais il correspond à quelque chose (production) de concret, tout comme la dette, les déficits etc..

                Ce n’est pas parce que les ratios dettes/PIB ou prélèvements/PIB sont mauvais qu’on doive résoudre le problème en remettant en cause la réalité d’endettement et de taux de prélèvements.
                .
                Sinon c’est trop facile, tout le monde pourrait être dépensier , s’endetter à mort pour dire à la fin, je remets en cause la notion de dettes et de recettes, je ne rembourse donc rien.


              • 1 vote
                sergel sergel 28 août 2012 19:11

                « Le PIB (Produit Intérieur Brut) est transformé en PIN (Produit Intérieur Net) par la prise en compte de la consommation de capital fixe (dépréciation du capital produit), puis en PINae (ajusté environnementalement) en prenant en compte la consommation de capital naturel (diminution des ressources et dégradation environnementale). »



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