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Accueil du site > Actualités > Economie > Crise de la dette, MON EPARGNE EN DANGER !

Crise de la dette, MON EPARGNE EN DANGER !

« J'adore Bernard Madoff !

Il oblige aujourd'hui les établissements bancaires à s'expliquer devant les tribunaux sur leurs méthodes de travail. » (Hélène Feron-Poloni)

 

 

Crise et patrimoine des Français : le débat avec Olivier Delamarche, Philippe Herlin, Nicolas Lecoq Vallon et Hélène Feron-Poloni.
Grand débat sur l’actualité de la crise de la dette et le patrimoine des français dans ce contexte préoccupant.

Une vidéo MEDIA INVESTIGATION http://www.media-investigation.com

Les invités :
Olivier Delamarche est associé et gérant de Platinium Gestion, il intervient sur l’activité économique tous les mardi sur BFM Business.
http://www.platinium-gestion.com

Philippe Herlin est chercheur en finance, chargé de cours au CNAM. Il est l’auteur de "L’or, un placement d’avenir" (Eyrolles), de "Repenser l’économie" (Eyrolles) et de "France, la faillite ? : Après la perte du AAA" (Eyrolles).
http://www.philippeherlin.com

Maître Nicolas LECOQ VALLON et Maître Hélène Feron-Poloni sont avocats au Barreau de Paris ; l’activité du Cabinet LECOQ VALLON & ASSOCIES est orientée principalement vers la défense et la protection du patrimoine des particuliers et des entreprises. http://www.lecoqvallonassocies.fr

Ce débat est une véritable mine d’or pour ceux qui se demandent ce que la crise leur réserve : un constat désastreux, et des solutions présentées en attendant l’orage... Pour les autres, il leur reste le déni, déjà si bien entretenu par la pensée unique.

 

Tags : Economie Politique Société Justice International Monnaie Banques Dette




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16 réactions à cet article    


  • 10 votes
    Voter Après la Monnaie Voter Après la Monnaie 4 novembre 2012 00:32

    Et puis il existe la solution de changer de paradigme lorsqu’on est dans une impasse.


    • 10 votes
      Ozi Marenlapine 4 novembre 2012 10:53

      C’est même la seule solution constructive....


    • vote
      rastapopulo rastapopulo 4 novembre 2012 16:52

      Il existe des solutions historiquement (30 ans, le moyen-âge pour un new age) prouvées pour casser les TBTF et responsabiliser les acteurs.


    • 11 votes
      gerfaut 4 novembre 2012 00:45

      J’ adore Delamarche, " on n’ est pas dans une crise du capitalisme, on est dans le socialisme" puisqu’ on vient au secours de celui qui fait n’ importe quoi avec de l’ argent public


      Très interessante vidéo, merci, quand on donne des conseils pour avoir les pieds par terre, cela me va toujours. 

      Le bon sens finalement, c’ est un truc qui n’ est pas si répandu que ça.

      • 17 votes
        maQiavel machiavel1983 4 novembre 2012 10:12

        Cette argumentation de crise du socialisme est pitoyable tout de même . Si croire que le socialisme , c’ est distribuer de l’ argent des contribuables aux banques , on marche sur la tête .

        Non , il aurait du dire que ce n’ est pas une crise du libéralisme , mais c’ est purement une crise du capitalisme ... un capitalisme anti-libéral certes mais capitalisme quand même .

      • 12 votes
        mac1 4 novembre 2012 10:23

        @ machiavel1983

        Le socialisme actuel ressemble à une véritable tartufferie. On fait croire qu’on veut aider les pauvres alors que par derrière on n’a de cesse que d’aider les plus riches. Le socialisme est devenu depuis longtemps du social-libéralisme c’est à dire, dans les faits, du libéralisme tout court...


      • 17 votes
        maQiavel machiavel1983 4 novembre 2012 10:48

        @mac1

        C’ est pourquoi , il est important de redonner un sens aux mots .
        Le socialisme est une idéologie selon laquelle les moyens de productions doivent être démocratisé , avec toutes les tendances que cela implique du Marxisme ( socialisation intégrale des moyens de production ) aux libertaire ( propriété des moyens de production pour tout le monde ).
        Quand on prend de l’argent aux contribuables pour le donner aux banques , ce n’ est pas du socialisme . Mais ce n’ est pas du libéralisme non plus ... c’ est du pur capitalisme de prédation dans lequel les banques et l’ Etat ( que les banques contrôlent en réalité ) marchent main dans la main pour dépouiller les peuples .
        En réalité ce n’ est même pas du social- libéralisme , c’ est un capitalisme anti-social et anti -libéral . 

      • 11 votes
        edwig 4 novembre 2012 10:57

        Ha, tout ça ?J’avais cru que c’était tout simplement du vol.


      • 3 votes
        maQiavel machiavel1983 4 novembre 2012 10:59

         smiley smiley smiley


      • 9 votes
        Ozi Marenlapine 4 novembre 2012 10:59

        En effet Machiavel, il est bon de redonner du sens aux mots, pour le coup Delamarche c’est bien planté (intentionnellement ?), car même si il est un des seuls à faire une critique objective sur la situation des Marchés, il ne faut pas oublier qu’il trempe à fond dans ce système (associé et gérant de Platinium Gestion)....


      • 1 vote
        rastapopulo rastapopulo 4 novembre 2012 16:55

        Attention Delamarche prône l’évidence du GlassSteagall. Dangereux pragmatisme contre les TBTF. Les patrons de banques sont content qu’on n’en parle pas plus !


      • 6 votes
        flesh 5 novembre 2012 00:32

        Delamarche qui confond la Russie et le Vénézuela avec la Corée du Nord (43:35)... qui passe toutes les semaines sur Propaganda TV... Qui parle de tout sauf de la dette odieuse issue de la création monétaire ex-nihilo... méfiance camarades


      • 4 votes
        kalagan75 4 novembre 2012 13:35

        Enfin une des rares vidéos où on n’est pas dans le déni de réalité .
        La politique de l’autruche que nous vivons depuis plus de 30 ans, pratiquée par la gauche ou la droite, nous amène dans un gouffre . Nos enfants hériteront d’une situation catastrophique laissée par l’incompétence des politiques et leur vision à 5 ans , ainsi que l’égoïsme, voire la crédulité du bon peuple, profitant aveuglément d’un système social très avantageux mais basé sur le crédit !


        • 11 votes
          Karmayata Karmayata 4 novembre 2012 14:31

          Qu’importent libéralisme, capitalisme, socialisme, communisme et j’en passe. Tout juste des étiquettes. En théorie chacun expose ses avantages et inconvénients, mais en pratique c’est pour le moins plus... nébuleux et alarmant. Qui est derrière le rideau depuis a minima les cinq derniers siècles ? A partir du moment où le système de ceux qui détiennent les manettes est corrompu jusqu’au trognon, que la plupart des "responsables" politiques de haute voltige sont des pions - des soldats aux dents longues mais très obéissants - il y a peu d’importance à la couleur des barreaux de la prison (voir les dires d’Etienne Chouard à propos de la "démocratie").
          .
          La haute oligarchie considère l’humanité comme du bétail. Des esclaves "sous contrat" vivant dans de grandes fermes interconnectées. Et ce n’est pas qu’une métaphore. Nous sommes bercés depuis notre enfance de certaines illusions de liberté. In fine toutes les richesses produites sont aspirées vers le haut. Les "maîtres" de ce monde se moquent bien de savoir si la fin justifie les moyens, remettant au quotidien une pincée d’overdose de consumérisme, des robots en veux-tu en voilà. Ajoutez à ça un soupçon de coups en douce à des fins géopolitiques ou stratégiques... alors le monde actuel n’est autre qu’un mauvais théâtre, un scénario qui profite à ceux qui l’écrivent. L’actualité et l’Histoire parlent d’elles-mêmes.
          .
          Et force est de constater qu’en matière d’économie, finance et gestion des budgets, nos "représentants" - nationaux, continentaux, mondiaux - n’ont pas non plus brillé par leur utilité, si ce n’est continuer, avec des tours de passe passe, de suivre comme des toutous les ordres de la haute finance. Il n’y a qu’à voir avec l’Europe (les USA j’en parle même pas), la plaque tournante des lobbies divers et variés et de la corruption (cela a été de nombreuses fois démontré). A présent ces gens-là n’osent même plus demander son avis au peuple souverain, car ils savent pertinemment que le "non" l’emporterait largement à chacune de leurs "idées angéliques" (et quand le peuple dit non eux ils entendent oui, comme pour le Traité de Lisbonne). Nous voyons où ça nous mène.
          .
          Les nations n’existent plus. Des "ambassadeurs", souvent non élus (quand ce n’est pas par Bilderberg ou Goldman Sachs), parlent de la pluie et du beau temps, du sexe des anges, pendant que le bateau coule. Ils font semblant de ne pas comprendre ce qui serait bon et raisonnable de changer, levant les bras au ciel pour demander de l’aide ou espérer voir s’accomplir un miracle.
          .
          En fait ils ne sont pas incompétents, ils sont simplement aux ordres. Les solutions existent mais ça n’arrangerait pas les affaires de ceux qui ont profité jusque-là de tous ces "vices de forme" et qui s’enrichissent sur la tête du peuple humain. Ils ont sans aucun doute déjà prévu les investissements adéquats et les bouées de sauvetage en cas d’effondrement économique global et de révolte populaire. Et tout porte à penser qu’une crise profonde est inéluctable, les voyants sont au rouge vif, mais rien n’y fait... on continue à "unifier" coûte-que-coûte, on continue la marche forcée (François Asselineau explique bien les problèmes liés à l’Union Européenne).
          .
          Une union voulue et encouragée par Oncle Sam, quand on nous vendait le paquet cadeau avec les prétextes de la soi-disant puissance concurrentielle et la paix. L’idée d’une Europe forte est séduisante, mais là à l’intérieur c’est tout gangréné. Et ce à cause d’agents infiltrés et sponsorisés (CFR, Trilatérale, etc) dont les pères de l’UE (ceci est à présent documenté)... donc ça date pas d’hier (voir cette scène mythique de Gabin à l’Assemblée Nationale). Désormais la gestion de l’économie nationale est confisquée par un pouvoir totalitaire et illégitime. Et bientôt une ouverture béante pour le "libre échange" avec l’Amérique du Nord. La tour de Babel européenne va participer à créer des "ponts". Les fermes se regroupent.
          .
          Il y a quelques exceptions comme au Venezuela, en Iran ou ailleurs, où les figures politiques n’ont pas encore vendu leur âme et résistent tant bien que mal au rouleau compresseur (ou qui luttent contre le sionisme tentaculaire). Qui ne laissent pas des sociétés privées étrangères "vampiriser" leurs ressources naturelles. Nous ici nous héritons de marionnettes soumises, qui s’accordent parfaitement avec les "idéologies" et "dogmes" dominants imposés. Economie, politique étrangère ou guerrière, sionisme... etc des clones politiques, avec quelques "nuances" histoire de feinter la différence. Ils ne sont bien entendu pas arrivés là par hasard (et les contradicteurs non sponsorisés ont été écartés).
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          Dans un autre registre, ceux qui refusent la soumission à la toute puissante oligarchie, ceux qui poussent le bouchon un peu trop loin, se font parfois purement et simplement assassiner (JFK, Allende, Sankara, Massoud etc...) ou consignés à résidence (Mossadegh, etc). C’est que l’Empire n’aime pas être titillé, il n’aime pas qu’on lui résiste. D’ailleurs Oncle Sam s’est donné le droit de kidnapper, torturer et tuer n’importe qui sur Terre pour des raisons de "sécurité nationale" et de lutte contre le "terrorisme". C’est un scandale mais qui proteste vraiment dans les "hautes instances" ? Enfin Oncle Sam ne fait qu’appliquer ce qu’il sait faire depuis des décennies, sauf que là c’est... légal.
          .
          Bref... Jacques Attali et consorts doivent être contents... leur "Nouvel Ordre Mondial" (avec pour capitale Jérusalem ?) tant prisé est en train de prendre forme. Un "monde unifié" avec des "points de contrôle" dans tous les domaines. C’est ce qui se profile chaque jour un peu plus. Et pour ça il faudra une "crise majeure" pour que le peuple accepte de gré ou de force les nouvelles doctrines, les nouveaux paradigmes, comme le disait David Rockefeller il me semble. Les premières chimères ont déjà été mises en place... ONU, FMI, Banque Mondiale, OMS, OMC, etc etc etc., des institutions maquillées de vernis mais totalement futiles, et qui permettent de délibérer sur de grands sujets sans devoir demander l’approbation de la population.
          .
          De manière générale, mises à part quelques élections anniversaires spectacles, le peuple n’a pas son mot à dire, quel que soit le sujet. Nous sommes sous dictature avec de fausses apparences démocratiques. 1% décide pour les 99%. Il n’y a rien à espérer d’eux, il n’y a rien eu à espérer jusque-là. Et comme dit l’adage : "La dictature c’est ferme ta gueule, la démocratie c’est cause toujours".


          • 8 votes
            BA 4 novembre 2012 21:07

            La Cour des comptes grecque juge anticonstitutionnelles des coupes dans les retraites.

             

            Or le niveau de la dette grecque n’est pas viable et l’hypothèse d’arriver à un taux d’endettement de 120 % du PIB en 2020 ne semble pas atteignable. Dans son projet de budget, le gouvernement estime le niveau de la dette à 189 % pour 2013 et à 220,4 % pour 2016.

             

            http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/11/02/la-cour-des-comptes-grecque-juge-anticonstitutionnelles-des-coupes-dans-les-retraites_1784785_3234.html

             

            Dette publique de la Grèce :


            2007 : dette publique de 107,4 % du PIB.
            2008 : dette publique de 112,6 % du PIB.
            2009 : dette publique de 129 % du PIB.
            2010 : dette publique de 144,5 % du PIB.
            2011 : dette publique de 170,6 % du PIB.

            2012 : dette publique de 175,6 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec. La dette augmente, augmente encore, augmente toujours, alors que le premier défaut de paiement de la Grèce a effacé 107 milliards d’euros de dettes.

             

            2013 : dette publique de 189,1 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

             

            2015 : dette publique de 207,7 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

             

            2016 : dette publique de 220,4 % du PIB, selon la prévision du gouvernement grec.

             

            La question n’est plus de savoir si le deuxième défaut de paiement de la Grèce va avoir lieu.

             

            La question est de savoir quand le deuxième défaut de paiement de la Grèce aura lieu.

             

            En zone euro, il va y avoir des défauts de paiement en cascade.


            • vote
              Croa Croa 6 novembre 2012 11:34

              Très intéressante vidéo. Toutefois ces interlocuteurs ne sont ni des docteurs en économie ni même des chercheurs de solutions politiques, plutôt des conseilleurs à partir d’une situation ma foi certainement assez juste avec les plus des professionnels. Pour nous dire que l’or est un refuge, nous n’avions pas besoin d’eux pour ça ! Mais nous avoir dit, entre autres tuyaux que les assurances vies sont de la merde vu qu’elles reposent sur des obligations d’état, voilà de la véritable information... MERCI !

              Je ne suis pas d’accord aussi avec l’un de ces conseilleurs qui propose l’endettement comme solution de proche avenir. être endetté en situation de crise n’est pas mieux car la pression sera toujours aussi forte sur les endettés, lesquels devront toujours être en mesure de verser les traites contractuelles et avoir des dettes c’est perdre toujours une part de liberté, crise ou pas crise. Et si vous perdez votre boulot on vous mettra à la rue plus facilement que si vous étiez locataire ! Idéalement il ne faut en fait en ce genre de périodes, n’avoir ni dettes ni créances et si possible disposer d’un maximum d’autonomie (avoir des terres est bien.)

              Sur le retour aux monnaies nationales je ne suis pas non plus d’accord. Ils auraient raison si ce retour se faisait sans mesures complémentaires tel qu’une relocalisation des économies, ce que les intervenants ne veulent peut-être pas envisager... Il faudra pourtant forcément y revenir ! 



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