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Jacques Sapir : Réforme des retraites : J. Stark met la France en garde, Intégrale Placements 29/07

Le 29 juillet, Jacques Sapir, économiste, directeur d'Etudes à l'EHESS s'est intéressé à la mise en garde de Jürgen Stark à l'égard de la France sur la réforme des retraites dans Intégrale Placements présenté par Cédric Decoeur, sur BFM Business.

 

Tags : France Europe Economie Retraites Finance




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8 réactions à cet article    


  • 4 votes
    L'Andalou L’Andalou 29 juillet 2013 16:47

    Jacques Sapir fait bien de faire remarquer qu’il y en a toujours que ça arrange ce genre de politique : l’épargnant allemand entre autres.
    Mais bon, je ne leur jette pas la pierre. Ils défendent leurs intérêts.


    • 3 votes
      Sergio 29 juillet 2013 17:12

      Jacques Sapir a parfaitement raison, notre problême est toujours le même : l’Allemagne veut nous lier les mains à nous Français.


      • 1 vote
        tousensemble tousensemble 30 juillet 2013 18:20

        les travailleurs de l’est sont spoliés en ALLEMAGNE 500 EUROS MOIS ET 300 EUROS DE RETRAITE(s’ils y arrivent...en faisant la merde dont les teutons ne veulent pas....°

        QUAND AUX RETRAITES IL Y A UNE SOLUTION MOITIE PAR REPARTITTION MOITIE PAR CAPITALISATION ( 60% a la charge du patronat et 40 % a la charge des salariés....deduits des impots de l ’entreprise et du salarié exemple article 83 DU CGI..........°


      • 1 vote
        lancelot 29 juillet 2013 20:16

        Si au moins la diète pouvait nous permettre de d assainir la gestion de nos administrations ,collectivités et sécurité sociale . 

        Mais pour l instant la rigueur a la francaise c est du matraquage fiscal comme les professeurs de l ENA en revent chaque nuit .
        Personne n a demandé a la France, Italie ou Espagne a un degré moindre , d augmenter les impots . 
        Faut croire qu Hollande Monti et Rajoy veulent apporter du cash rapidement aux marchés pour continuer a emprunter ,sans aucune logique gestionnaire puisque les deficits ne font qu augmenter .
        C est sur que dire a son peuple :" nous vivons au dessus de nos moyens ,fini la santé gratuite on va plutot investir cet argent dans l industrie de demain " c est demande un courage churchillien

        • 3 votes
          heliogabale 29 juillet 2013 21:50

          Pour la n-ième fois :

          Si on met fin du jour au lendemain (même 3 ans c’est du jour au lendemain) au système de sécurité sociale, vous provoquerez une catastrophe sanitaire.

          Des gens qui peuvent payer cash un traitement contre un cancer (30 000 euros), les soins suite à un AVC (50 000 euros minimum), il n’y en a pas beaucoup. Il est même probable qu’une telle politique, appliquée aussi brutalement, soit contraire aux conventions internationales signées par la France.

          Le matraquage fiscale, c’est certainement le moindre mal (poison à effet plus lent) en terme d’austérité...


        • vote
          lancelot 30 juillet 2013 01:57

          Oui enfin pour les graves maladies il y a toujours un cordon a maintenir, je ne suis pas un monstre . 

          Mais vous voyez ou je veux en venir , moins de santé, moins d école, moins de routes, moins de ponctionnaires ,moins d aides sociales
          c est terrible ? bah faut assumer les consequences de ses votes. "demandez vous ce que vous pouvez faire pour votre pays"
          depuis le second choc petrolier on produit beaucoup moins de richesses qu on ne dépense d argent public . qui s emeuvait de cette situation irresponsable a l époque ? raymong barre ," je préfère est impopulaire qu irresponsable", et paf les francais ont mis le mythe errant et sa politique totalement irresponsable en place.
          la cmu, le RSA, la prime pour l emploi,l aide au logement , l AME,toutes ces bricoles furent financées a crédit , alors que la production industrielle ne faisait que decliner
          qu avons nous fait pour rebooster l appareil productif ? les 35 h , l ISF, le principe de précaution, la CRDS,la retraite a 60 ans ...
          le matraquage fiscal indolore ? plutot l eternelle solution de facilité de la classe politique francaise,quand bien meme toutes les etudes internationales montrent que l impot est plus recessif et qu aucun plan de rigueur/austérité fondé sur l impot n a jamais réussit dans l OCDE.
          allez demandez aux centaines de milliers de nouveaux chomeurs si le matraquage fiscal sur les entreprises leur est indolore .

          les francais sont montés tres hauts en niveau de vie,mais de manière très artificielle, il est temps de redescendre a coup de pompes dans le cul

        • 1 vote
          tousensemble tousensemble 30 juillet 2013 18:26

          IDEM POUR LA SECU ET LA MUTUELLE

          voir l’article 83 DU CGI.................

          LES CADRES EN PROFITENT DEJA CONTRAT DE GROUPE DONNANT AUTANT DE REMBOURSEMENT QUE LA SECU 50/50 DEFALQUES DES IMPOTS POUR LES ENTREPRISES ET LES SALARIES IDEM EN PREVOYANCE.............

          IL FAUT GEBNERALISER TOUT CELA AU NIVEAU DE TOUS LES COLLEGES DE SALARIES


        • 4 votes
          BA 30 juillet 2013 10:55

          Nous venons de vivre une semaine historique : les grands commentateurs médiatiques viennent ENFIN de comprendre que des pays européens vont faire défaut.

           

          Mardi 23 juillet 2013 :

           

          A propos des défauts de paiement des pays européens, Jean-Marc Vittori écrit :

           

          Réfléchir à l’effacement des dettes publiques.

           

          C’est intenable. En un an, la dette publique a augmenté de 450 milliards d’euros dans les pays de l’euro.

           

          [ ... ] 

           

          La deuxième manière est sans nul doute plus violente, mais elle va sans doute finir par s’imposer : c’est l’effacement d’une partie de la dette. En jargon, on parle de restructuration pour ne pas effrayer l’épargnant qui détient cette dette d’une manière ou d’une autre. La Grèce y est passée l’an dernier. Le Portugal, qui aura beaucoup de mal à lever les 15 milliards d’euros prévus sur les marchés l’an prochain, risque d’y aller. Les autorités européennes acceptent peu à peu la perspective de la restructuration, comme l’ont prouvé le plan grec de l’an dernier, l’intervention chypriote cette année, ou l’imputation des pertes des banques à leurs créanciers prévue dans le projet d’union bancaire. Le FMI, lui, a lancé en avril dernier un vaste chantier sur le sujet en soulignant que les restructurations ont souvent été par le passé trop faibles et trop tardives. Les propositions abondent : processus d’arbitrage, création d’une cour internationale de restructuration des dettes, allongement automatique des maturités des obligations émises par un Etat en cas d’assistance financière fournie par le Mécanisme européen de stabilité… La sortie de la crise européenne dépendra de notre capacité collective à gérer un effacement de dettes, puis ses conséquences économiques et sociales. Il est urgent d’y réfléchir.

           

          http://www.lesechos.fr/opinions/edito/0202911635059-reflechir-a-l-effacement-des-dettes-publiques-588695.php

           

          A propos des défauts de paiement des pays européens, Patrick Artus écrit :

           

          "Un défaut est inévitable pour les pays les plus vulnérables de la zone euro"

           

          La Tribune  : Mais n’y a-t-il pas un danger d’une réaction en chaîne si l’un des pays de la zone euro fait défaut ?

           

          Patrick Artus : Le problème, c’est que l’on n’a pas mis en place les institutions nécessaires pour permettre d’éviter la contagion. Par exemple, si demain le Portugal fait défaut, nous n’avons rien pour empêcher les marchés d’attaquer les autres dettes européennes. Quant à l’OMT, il est inefficace parce qu’il ne peut être déclenché que si un pays demande à être placé sous programme d’aide. Il n’intervient qu’après le désastre, alors que ce mécanisme devrait être préventif. Mais il n’y a pas que cela. Il faut aussi prendre en compte le fait que les banques sont d’énormes détenteurs de dette publique. Pour qu’il y ait un défaut organisé, il faut prévoir avant une recapitalisation des banques. Or, le MES n’est pas prêt. Donc pour l’heure, un défaut signifierait automatiquement une crise bancaire.

           

           

          http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130723trib000777111/patrick-artus-un-defaut-est-inevitable-pour-les-pays-les-plus-vulnerables-de-la-zone-euro.html

           

          A propos des défauts de paiement des pays européens, Romaric Godin écrit :

           

          L’automne sera placé sous le signe de la restructuration des dettes publiques dans les pays périphériques de la zone euro. Même si officiellement, il ne saurait en être question, l’idée fait en effet son chemin. Rajouter de la dette du MES (Mécanisme européen de stabilité) à de la dette pour « sauver temporairement » ces pays comme cela a été le cas depuis 2011 ne saurait être une solution durable. Mais comment restructurer une dette ? L’histoire donne un certain nombre de pistes. Et permet également d’évaluer les conséquences de ces défauts.

           

          http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20130725trib000777526/restructuration-de-la-dette-europeenne-mode-d-emploi.html

           

          Lundi 29 juillet 2013 :

           

          A propos des défauts de paiement des pays européens, Mory Doré écrit :

           

          On le voit il n’existe pas de solution simple à la crise des dettes souveraines de la zone euro : pas de possibilité de forte réduction de dette publique compte tenu du potentiel de croissance limité ; pas de possibilité de détruire purement et simplement la dette, sauf à mettre la BCE en péril ou à en revenir à des mécanismes de monétisation d’il y a plus de 40 ans. Il reste alors des solutions de restructuration qui devront être directement ou indirectement supportées par les investisseurs institutionnels et les épargnants privés.

           

          http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/finance-marches/finances/221177589/insoutenable-dette-reduire-detruire-restructu

           

          Pronostic  :

           

          Les pays européens qui vont faire défaut sont les suivants :

           

          Grèce, Italie, Portugal, Irlande, Belgique, France, Espagne, Royaume-Uni, Chypre, et plus si affinités.

           

          1- Médaille d’or : Grèce. Dette publique de 305,291 milliards d’euros, soit 160,5 % du PIB.

           

          2- Médaille d’argent : Italie. Dette publique de 2034,763 milliards d’euros, soit 130,3 % du PIB.

           

          3- Médaille de bronze : Portugal. Dette publique de 208,284 milliards d’euros, soit 127,2 % du PIB.

           

          4- Irlande : dette publique de 204,054 milliards d’euros, soit 125,1 % du PIB.

           

          5- Belgique : dette publique de 394,220 milliards d’euros, soit 104,5 % du PIB.

           

          6- France : dette publique de 1870,294 milliards d’euros, soit 91,9 % du PIB.

           

          7- Espagne : dette publique de 922,828 milliards d’euros, soit 88,2 % du PIB.

           

          8- Royaume-Uni : dette publique de 1385,701 milliards de livres sterling, soit 88,2 % du PIB.

           

          9- Chypre : dette publique de 15,342 milliards d’euros, soit 86,9 % du PIB.

           

          http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/2-22072013-AP/FR/2-22072013-AP-FR.PDF




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dgomez


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