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Accueil du site > Actualités > Economie > La compétitivité expliquée en quelques minutes - Aurélie Trouvé

La compétitivité expliquée en quelques minutes - Aurélie Trouvé

Au lendemain de la conférence de presse du 13 novembre, le jour des manifestations européennes du 14 novembre, Aurélie Trouvé revient sur le "pacte de compétitivité" défendu par François Hollande.

 

 

Pour en savoir plus sur la compétitivité :

 

- Lire le rapport : Pour en finir avec la compétitivité, Attac / Fondation Copernic, 7 novembre 2012

 

- Ras le bol de la compétitivité : http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2012/11/07/ras-le-bol-de-la-competitivite-neoliberale/

 

- Compétitivité = travailleurs piégés : http://alternatives-economiques.fr/blogs/harribey/2012/11/06/competitivite-travailleurs-pieges/

 

- La compétitivité, ou la loi des multinationales : http://dessousdebruxelles.ellynn.fr/spip.php?article187

 

Tags : Economie Emploi




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4 réactions à cet article    


  • 11 votes
    freddy 16 novembre 2012 15:57

    Philippe Dessetine, la putain du capital, il est partout celui là ;)


    • vote
      sheeldon sheeldon 17 novembre 2012 16:00

      « Le protectionnisme est une politique qui vise à protéger les capitalistes nationaux de la concurrence étrangère, en espérant éventuellement que cela profitera aussi aux salariés. le protectionnisme est par essence unilatéral : l’Union européenne – ou plus vraisemblablement la France – imposerait des taxes dissuasives aux marchandises provenant de l’étranger, notamment des pays pauvres et des ém
      ergents. Il est aussi par essence nationaliste : la taxation se produit au passage de la frontière, renforçant l’identification des populations au cadre national. Il appelle inévitablement des mesures de rétorsions et une dynamique de conflits commerciaux entre nations. Il ne peut pas être durablement l’outil d’une politiquer de transition. » C’est signé Attac et la Fondation Copernic dans leur critique du rapport Gallois.

      ceci signifie vive le libéralisme ...

      • vote
        ffi 18 novembre 2012 01:44

        L’extrême-gauche est contre la compétition et contre le protectionnisme.
        Or comment se protéger de la compétition sans protectionnisme ?
        C’est pas cohérent.
        Ces gens ne sont pas cohérents : leurs lubies idéologiques les font tourner le dos au bon sens.
        Il faudrait qu’ils soignent leur sac de noeud intellectuel, car le navire prend l’eau de toute part...
         
        Le cadre de protection immédiatement réalisable, découle de ce qui est en capacité de faire respecter immédiatement une loi écrite dans une langue commune, en son domaine politique : c’est la Nation. Mais ils abhorrent l’idée de Nation, alors ils préfèrent ne pas mettre en place de protections, tout en râlant sur la compétition...
         
        En vérité, ils préfèrent ne rien faire, parce que la survie de structure efficace à résoudre les problèmes économiques, la Nation, est un problème encore plus grand à leurs yeux...
         
        Donc, ils ne jouent pas franc-jeu. La lutte contre la compétition n’est pas leur priorité.
        Leur priorité, c’est la lutte contre la Nation.
         
        Normal, venant du courant de l’inter-national socialisme, le national-socialisme de l’étranger, spécialisé dans le génocide démocratique du peuple, par le peuple et pour le peuple... (ex : URSS, Chine, Corée du Nord, Cambodge)


        • 1 vote
          Fabien07 19 novembre 2012 09:30

          La compétitivité des entreprises est une nécessité imposée par notre modèle économique basé sur la croissance. La "croissance", comme ils l’appellent, dans un espace fini (la Terre), consiste à ramasser toujours plus de monnaie d’une année sur l’autre, ce qui implique aujourd’hui de le faire au détriment d’autres personnes, moins compétitives, ou moins roublardes...
          On s’en sortirait déjà un peu mieux effectivement si la majeure partie des richesses n’étaient pas aspirées par le capital, par essence improductif.
          Mais je crois que le problème de fond, c’est le manque d’innovation en matière d’économie et la peur du changement.
          L’humanité a un besoin urgent d’adopter un nouveau modèle économique, sinon nous sommes perdu à relativement brève échéance.



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