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Accueil du site > Actualités > Economie > Milton Friedman : le pouvoir du marché

Milton Friedman : le pouvoir du marché

 « Moi, le crayon » est l’essai le plus connu de Leonard Read et fut publié pour la première fois dans le numéro de décembre 1958 de The Freeman. Bien que certains détails de fabrication et de lieux aient changé au cours des quarante dernières années, les principes sont restés les mêmes. 

Milton Friedman, qui a préfacé la brochure de la FEE diffusant ce texte, a utilisé l’exemple du crayon de Leonard Read dans la série télévisée « Free to Choose » et dans le livre (portant le même titre) qui en a été tiré.

Milton Friedman est généralement considéré comme un grand défenseur du libéralisme ; il se définissait comme « un Républicain avec un grand R et un libertarien avec un petit l ». Il s’engagea fortement dans le débat public en organisant en particulier des conférences nombreuses ou en participant à des émissions télévisées au cours desquelles il présenta ses convictions en faveur d’une économie libre et du capitalisme. Dans un entretien télévisé en 1979, il déclara par exemple :
« L’histoire est sans appel : il n’y a à ce jour aucun moyen [..] pour améliorer la situation de l’homme de la rue qui arrive à la cheville des activités productives libérées par un système de libre entreprise »
  — Milton Friedman, Entretien avec Phil Donahue



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8 réactions à cet article    


  • 1 vote
    eyes wide open eyes wide open 30 août 2010 13:19

    pour aller plus loin...

    partie économie de cette compilation de videos

    www.eyeswideopen.over-blog.com


    • 2 votes
      Mr.Knout Mr.Kout 30 août 2010 16:18

      Ah quel grand homme,les chiliens lui doivent tant......


      • vote
        FrenchDissent French_Dissent 30 août 2010 16:29

        C’est vrai, le Chili est un des pays les plus prospères d’Amérique latine.


      • vote
        Mr.Knout Mr.Kout 30 août 2010 19:08

        Ah l’économie,l’économie qui "rend les gens heureux".Peu importe qu’un frère,qu’un fils,qu’un père soit introuvable,des familles aux deuils confisqués.Mais ce n’est pas grave,le pays est prospère.

        Et bien sur les liberaux s’attribut le merite alors que c’est une politique d’intervention de l’etat aux travers de fonds qui ont permit la reduction de la pauvreté de manière très efficaces ,rien de très liberal..Et cela en étant considéré comme un pays qui dépenses peu dans l’assistance sociale.Comme quoi interventionnisme mesuré,efficacité et bonne gestion sont possibles.


      • vote
        FrenchDissent French_Dissent 30 août 2010 19:46

        Non, le Chili est un enfer ultralibéral. 


      • 2 votes
        concitoyen 30 août 2010 18:01

        Le prix bas comme seul argument de vente et de rapports sociaux, c’est le grand problème de nos sociétés. 

        Car dans un prix , il y a l’éducation, la santé, le social, l’environnement, la qualité, le transport.
        A vouloir faire des objets bon marché nous sommes tous perdants :
         le salarié avec un pouvoir d’achat en baisse, le patronat avec une concurrence déloyale, le consommateur avec des produits de qualité médiocre, voire dangereux pour la santé. 


        • vote
          rastapopulo rastapopulo 30 août 2010 23:06

          1° Glass Steagall à l’avance
          Bénéf : non intervention de l’état, autorégulation, rêgle non discriminante et non taxatoire,...

          2° garantir les dépôts a posteriori
          problème : intervention du contribuable, prise en otage des depôts par les banques de risques universelles, too big to fail,...

          3° ne rien faire
          problème : tiers en faillite à cause de dépôts supposés sans risque, même l’économie viable est morte

          En bref, si les libertarien préfère la 3° possibilités et qu’ils dirigent, il va falloir créer un nouveau nom pour les dépôts (dommage ça disait bien ce que ça voulait dire) genre "avoir" et créer d’autre banques qui ne pourront pas prendre de risque énorme avec les "avoir" parce qu’un commerçant n’utilise pas son compte pour investir mais pour déposer.


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            rastapopulo rastapopulo 1er septembre 2010 14:11

            Donc qu’elle est votre choix ?

            1° réguler de manière non discriminante et non-taxatoire pour sécuriser les dépôts et rendre inutile l’intervention de l’état comme pendant 40 ans sans crises financière

            2° ne pas réguler mais sauver les dépôt donc les banques qui prennent en otages les dépôts comme c’est le cas depuis 10 ans au USA

            3° ne rein faire et repartir de zéro. Pour ceux qui pense que le retraite pas capita est une bonne chose, ça leur ouvre l’esprit mais pour les déposants c’est pas joli joli d’imposer que les dépôt soit des investissement à risques. 



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