Nationalisation des pertes et privatisation des bénéfices : Après LCL et Dexia, Areva ?
Retour sur les dossiers LCL et Dexia et notamment les côut financiers engendrés. On se dirige probablement avec Areva vers une fin similaire.
Tags : Economie Entreprises Polémique
7 réactions à cet article
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"Nationalisation des pertes et privatisation des gains"....
Il me semble bien qu’un certain Karl Marx en parlait déjà, en des temps relativement anciens, non ?
Alors, quoi de neuf sous le soleil(des multinationales), hein ?-
Qui peut avoir encore envie de payer des impôts quand on voit ce genre de scandales...
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Payer pour les rapaces cupides de la finance et du nucléaire, non merci !
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"et du nucléaire, non merci !"
Mais qu’est-ce qu’il y a ?
Vous confondez les "nucléocrates", avec les lois de la physique nucléaire tout à fait naturelles en réalité ! Si oui, que fait-on alors ? On arrête le Soleil ? On colmate tous les trous et brèches sur la surface du Globe par peur d’être irradié par le noyau terrestre en fusion, hein ?
Pour éviter ce genre d’inepties crasses, il me semble indispensable d’instaurer une vraie politique nucléaire citoyenne....histoire d’éviter de tomber dans les travers démagogiques et catastrophiques des fausses solutions "durables" des écolos-malthusiens.
Quand on regarde le programme énergétique récent allemand , avec développement exponentiel des centrales à charbon (C14 très polluant et irradiant), sérieusement, c’est pas sérieux.....
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Il sait lire Mr CapTV ?
Je parlais du lobby du Nucléaire qui est ultra puissant en France depuis Giscard...
Et pas la peine de tronquer ma phrase, car j’ai écrit :
"Payer pour les rapaces cupides de la finance et du nucléaire, non merci !" -
Hé, Reiser,
c’est bien ça, les "nucléocrates" ! C’est clair, non ?
T’es d’accord pour le nucléaire du futur alors ?
La 4ème génération et l’exploitation du Torium, notamment ?
La fusion thérmonucléaire aussi, hein ?
J’en ai vraiment marre des débiles anti-nucléaire en général, tu piges ? -
Tout ce que les entrepreneurs organisent avec les banques tout en se rabattant sur les États en cas de lourdes pertes, ce sont les petits entreteneurs qui les épongent à vie.
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Pour reprendre l’apostrophe de Vla l’Jean, j’ai décidé de limiter au maximum les impôts que je verse à cette clique, en vendant mes locaux commerciaux, mon logement, en supprimant totalement mes revenus (énorme récupération de temps) et en vivant sur mon voilier, qui va me permettre d’aller bientôt dépenser ce qui me reste, dans des pays autrement plus intéressants : Cuba, Cabo Verde, Venez, etc...
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