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Perspectives économiques 2014 : Olivier Delamarche, Philippe Béchade et Norman Palma

Olivier Delamarche, Philippe Béchade et Norman Palma :

Perspectives économiques 2014

 

Partie 1 :
 
 
 
Partie 2 :
 
 

 

Tags : Economie International




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4 réactions à cet article    


  • 3 votes
    Stof Stof 8 janvier 2014 19:31

    Je ne comprend toujours pas très bien d’où pourrait provenir le mécanisme d’un processus d’effondrement rapide du système actuel.
    Parceque visiblement ça fonctionne plus ou moins comme ça au Japon depuis 15 ou 20 ans. Il parait donc possible de maintenir un système avec 250% du PIB de dette, de la déflation et des QE ad eternam.

    Après, que la Chine décide un jour ou l’autre de renverser la table pour prendre le contrôle de la monnaie de référence mondiale, ça c’est autre chose.


    • 4 votes
      ouranos ouranos 8 janvier 2014 19:57

      Le Japon n’a et ne connait pas d’austérité comme chez nous en France et autres pays latins de l’UE.
      De plus, contrairement au Japon, il y a un gouffre qui s’est installé entre le pouvoir et le peuple.
      Par conséquent, je ne suis pas sur que l’UE et et les USA puissent appliquer la politique des Japonais pendant 10 de plus (qe) avec en plus de cela de l’austérité. Les pouvoirs en place ne tiendront pas... A un moment ou un autre, la lumière s’éteindra...et après ? personne peut le dire vraiment...


    • 6 votes
      edwig 9 janvier 2014 03:01

      La crise c’est aussi un piège mental qui fait accepter la mondialisation.
      En réalité, "la crise" est un super moyen de faire accepter à la conscience collective que les riches détruisent, pillent et s’accaparent tout le tissus économique et les acquis sociaux qui vont avec.
      C’est pas la crise pour tout le monde.
      C’est surtout la crise pour ceux qu’on doit voler.
      Le voleur en costard s’approche de toi pour te faire les poches, toi, naturellement, tu serres les poings, mais le voleur te dit " c’est la crise mec ! on y peut rien..." et là, résigné, tu lui donnes toi même ton pognon en râlant...


    • 2 votes
      Stof Stof 9 janvier 2014 13:36

      D’un point de vu macro-économique, le monde entier doit aussi sa dette à lui-même, donc ça ne fait pas vraiment de différence, en fait.



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