Sortir de l’Euro ou mourir à petit feu
Tags : Politique Euro
4 réactions à cet article
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Merci Cassia, pour cette vidéo et quelques autres...( ainsi que la photo du profil : superbe ! )
Cotta semble sur la réserve, un peu trop modéré. Bien-sûr, il ne peut être exhaustif en 16 minutes, alors on reste sur notre faim et je l’aurai bien aimé un peu plus saignant.
Mais l’essentiel est asséné avec un calme soutenu par quelques paroles justes et fortes, des conclusions si évidentes qu’on se demande comment les gens peuvent continuer à se voiler la face et se leurrer alors que le système financier va les broyer sans la moindre pitié...
Son constat sur l’attitude de totale indifférence des Français est regrettablement incontestable. La trop grande majorité, peureuse, frileuse, bêlante et soumise, se cantonne dans une inertie apathique excessivement déplorable et inquiétante.
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C’est quand le prochain débat sur le sujet avec des journalistes faisant leur travail !!!
Perso je pense que c’est un point essentiel de la présidentielle. Bon l’étiquetage Halal ou Cachère est surement très important, mais l’avenir de notre nation ne mérite t’elle pas un peu plus de temps à consacrer à ce sujet au combien absent des débats !-
Ce débat n’aura peut-être pas lieu. On souhaite pourtant la présence de François Asselineau pour la suite de cette campagne présidentielle car il est le seul à pointer la source de nos problèmes : la soit-disant union européenne.
Quelle jubilation il y aurait à les voir se dégonfler comme des baudruches, les Sarkozy, les Hollande et les autres, à se voir démontrer leur incompétence ou pire leur complicité dans cette grande escroquerie.
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Il est vrai que les corporations, historiquement, comme leur nom l’indique, sont des "corps intermédiaires", lesquelles doivent absolument être soumis au pouvoir politique (qui est donc le chef, la tête). Le rôle du pouvoir politique est d’arbitrer et de réguler les appétits des corporations, de manière à ce qu’ils ne deviennent nuisible à l’ensemble de la société.
Si l’on crée une corporation non plus comme corps intermédiaire, donc soumis à un pouvoir politique, mais comme un corps de tête, supérieur donc à tout pouvoir politique, ces appétits seront sans contrôle et elle va donc pouvoir s’étendre sans fin, pour dominer sans partage.
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